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Documents sur le sida

  La mortalité du sida en France

 

 

 

Les causes non virales du sida (ou des sidas...)

 

[18/01/2009]

 

« Il est évident qu'en des temps pas très lointains, dans des situations d'apoplexie, diagnostic inévitable dans un cas comme le vôtre, on avait tout de suite recours à la saignée. Le malheureux roi Louis XIII en a subi quarante-sept en une seule année, sans parler des deux cent douze purges et deux cent quinze clystères qu'on lui a administrés. Inutile de vous dire qu'il est mort jeune. » (Pr João Lobo Antunes, Lettre à un ami-nouveau, Pâques 1997, dans De Profundis, valse lente, de José Cardoso Pires, Urf Gallimard, 2008, p. 19-20. Lu le lundi 6 avril 2009).

Mine marine dans son bouillon de culture

 

Sources:

[A] Marc Avérous: Un Bon Pasteur? (Louise Courteau).

[B] Dr Étienne de Harven et Jean-Claude Roussez:, 2005: Les 10 plus gros mensonges sur le sida (éditions Dangles) [index].

[C] Dr Étienne de Harven, février 2008: L'Origine virale du sida (http://www.votre-sante.com/suite.php?dateedit=1203002903).

[D] Guerre contre le cancer: l'offensive (http://wiki.france5.fr/index.php/LA_GUERRE_CONTRE_LE_CANCER_-_L%27OFFENSIVE).

[E] Pr Luc Montagnier, entretien avec Adam Smith, 6 octobre 2008: "We are still fighting this virus, very strongly, and the AIDS epidemic" (http://nobelprize.org/nobel_prizes/medicine/laureates/2008/montagnier-telephone.html)

[F] Dr Michel Bounan, 1989, 2004: Le Temps du sida (Allia, 2004) [index].

[-] Djamel Tahi, 1996 (Arte Télévision): Sida: le doute (http://www.inexplique-endebat.com/article-sida-le-doute-108651283.html ou http://www.dailymotion.com/video/x8f7sg_documentaire-rarissime-sida-le-dout_news ou http://www.mystere-tv.com/sida-le-doute-v594.html) [index et citations].

[G] Brent Leung, 2009: House of Numbers. interview vidéo de Luc Montagnier en 2009 :  http://www.alterinfo.net/Pr-Luc-Montagnier-prix-Nobel-de-medecine-2008-Je-le-pense-que-l-on-peut-se-debarrasser-du-HIV-de-facon-naturelle_a40081.html ; http://houseofnumbers.com/. Film complet sous-titré en français: http://www.dailymotion.com/video/xgp768_house-of-numbers-vostfr-1-9_tech ou http://www.inexplique-endebat.com/article-sida-le-doute-108651283.html [index et citations].

[H] Djamel Tahi: Interview de Luc Montagnier: Luc Montagnier a-t-il découvert le VIH?, Continuum, hiver 1997 (http://www.sidasante.com/journal/dtintlm.htm).

[I] Wikipédia: Luc Montagnier (http://fr.wikipedia.org/wiki/Luc_Montagnier).

[J] "Beljanski : appel à témoignages", Remaides, mars 1997, n° 23 http://indexeur.france.qrd.org/sante/remaides/REM23/FR23/p48n23.html

[K] Stefan Lanka, 27 octobre 2005: Pas de panique - La vérité sur la grippe aviaire, le H5N1, la vaccination et le sida, interview par Christopher Ray pour Faktuell http://www.faktuell.de/Hintergrund/Background367.shtml [lien invalide), traduit sur http://news.stcom.net/modules.php?name=News&file=article&sid=2042 ou http://www.alterinfo.net/Interviewe-du-Dr-Stefan-Lanka-sur-la-grippe-aviaire,-entre-autres_a1665.html.

[L] L'Interview de Stefan Lanka par Mark Gabrish Conlan, 20 octobre 1998, dans Zenger, Dec. 1998 (http://www.sidasante.com/journal/stefzeng.htm).

Stefan T. J. Lanka, Michael Klein, Uwe Ramsperger, Dieter G. Müller and Rolf Knippers: "Genune Structure of a Virus Infecting the Marine Brown Alga Ectocarpus siliculosus", Virology 193, 1993, p. 802-811 (http://agenda-leben.de/Lanka_Ectocarpus_siliculosus.pdf).

Dieter G. Müller, H. Kawai, B. Stache et Stefan Lanka: "A virus infection in the marine brown alga Ectocarpus siliculosus (Phaeophyceae)", Botanica Acta 103, 1990, p. 72-82 (http://agenda-leben.de/Botanica_Acta.pdf).

Renaud Russeil: Sida: le pavé dans la mare (http://www.sidasante.com/renaud/rrpave.htm); synopsis: http://www.medecine-autrement.com/PHOTOMARKET/general/PO/articles/sida/ledoute4.pdf.

Pr Étienne de Harven, juin 2000: L'origine virale du sida n'a jamais été démontrée scientifiquement (http://www.votre-sante.net/publications/origine-sida.html).

Mirko Grmek, 1989, 1995: Histoire du sida (Payot, 1995) [index].

Wallypat: SIDA : remise en cause du dogme officiel (http://www.onnouscachetout.com/synthese-sida).

Robert E. Willner, 1992: L'Escroquerie du sida: l'ultime supercherie (http://www.medecine-autrement.com/PHOTOMARKET/general/PO/articles/sida/article14.pdf).

La Grande Supercherie du sida, http://www.letransmuteur.net/la-grande-supercherie-du-sida/.

Luc Montagnier, 2008: Les Combats de la Vie (Mieux que guérir, prévenir) (Jean-Claude Lattès) [index et citations].

[M] Interview par Christine Johnson d'Eleni Papadopoulos-Eleopulos, juillet 1997: "Le VIH est-il la cause du sida?" (http://www.sidasante.com/science/scielen1.htm).

Rebecca Culshaw, 2007: La Théorie VIH du sida, incohérence scientifique! (Marco Pietteur, 2009) [index].

Robert Gallo, 1990: Chasseur de virus (Robert Laffont, 1991) [index et citations].

Luc Montagnier, 1994: Des Virus et des Hommes (Odile Jacob) [index et citations].

Sophie Chervet, 2002: Enquête sur un survivant illégal. L'affaire Gérard Weidlich (Enquête de Jean-Paul Leperlier) (Guy Trédaniel) [index et citations].

[N] Institut National d'Études Démographiques (INED): statistiques de décès en France par sida en France de 1983 à 1999 (http://www.ined.fr/1999/: 1: Cliquer sur "Décès pas cause, nombre et taux"; 2. Cocher "Maladies infectieuses et parasitaires" puis "Valider"; 3. Cliquer sue "Sida et infection par le virus de l'immunodéficience humaine (depuis 1983)" et ne cocher que "Décès tous âges et indicateurs synthétiques" et cliquer sur "Soumettre la requête"; 4. Cliquer sur "Accès aux informations").

Renaud Russeil, Les poppers, cause cachée du SIDA, 1er novembre 2011, http://www.neosante.eu/les-poppers-cause-cachee-du-sida/

Sylvie Simon  : Sida : Les faits toujours occultés, 12 novembre 2010, http://sylviesimonrevelations.over-blog.com/article-le-sida-61241204.html [25.07.2018]

Voir aussi :

Jérémie Mercier : « C'est quoi vraiment le SIDA ? », 2023, https://crowdbunker.com/v/HVCuQAonLT

 

 

 

La médecine pastorienne et les intérêts financiers et sociaux de la recherche de virus

Lorsque, il y a deux siècles,  l'industrialisation a causé l'exode rurale, une promiscuité dans les villes, une pollution en hausse, une malnutrition certaine, les sources d'alimentation s'étant éloignées alors qu'il n'y avait pas de moyens de conservation comme maintenant), le sous-ensoleillement (usines, mines) [F:134] et  que la misère, les conditions de travail ont aussi causé une augmentation de la toxicomanie (alcoolisme, tabagisme), des maladies sont apparues. Plutôt que de remettre en cause les fondements sociaux de la misère sanitaire et de leur enrichissement, l'oligarchie bourgeoise et capitaliste préférait trouver un bouc émissaire muet dans les microbes, ce qui a favorisé la glorification idéologique de la médecine de Louis Pasteur [F:112], malgré ses mensonges, ses pillages scientifiques, mais aussi grâce à ses talents de communicateur, de lobbyiste et de dissimulateur [A].

Cette tendance s'est renforcée le siècle suivant*. Plutôt que de trouver les causes de cancer et de leur augmentation dans des causes environnementales et sociales, par la pollution des produits industriels, les laboratoires pharmaceutiques, liés aux autres industries, surtout chimiques, ont préféré durant des décennies chercher des virus cancérigènes. Mais, devant des années de résultats nuls au microscope électronique, un biologiste comme le Dr Étienne de Harven a préféré passer à autre chose en 1965 [C]. Mais, alors que les crédits commençaient à diminuer, la découverte de la transcriptase inverse (l'information ne venant pas que de l'ADN vers l'ARN et la protéine mais pouvant aller dans l'autre sens) chez les virus par Howard Temin et David Baltimore (Mirko Beljanski fera la découverte de sa possibilité chez les bactéries) entraînera un regain d'intérêt, appuyé financièrement et idéologiquement par  la "guerre contre le cancer" déclarée par le Président des USA Richard Nixon en 1971, et fournissant des millions de dollars, en particulier pour des virologues, pour trouver "le" traitement en cinq ans, mais éludant la prévention collective [D]. Robert Gallo et Luc Montagnier (qui a créé en 1972  l'Unité d'oncologie virale dans le nouveau département de virologie de l'Institut Pasteur, à la demande de Jacques Monod son directeur [I]; et qui affirme qu'il «travaillait sur un possible virus du cancer du sein» [E], alors qu'on sait à quel point la multiplication des cancers du sein est causée par les perturbateurs chimiques endocriniens) chercheront dans cette direction lucrative, mais peu fructueuse scientifiquement.

En 1975, Gallo affirma avoir découvert le premier rétrovirus humain, chez des leucémiques, et qu’il baptisa HL23V. Comme il le fera plus tard pour le VIH, Gallo se servit de la réaction des anticorps pour détecter quelles étaient les protéines appartenant au virus parmi les protéines présentes dans la culture. Peu de temps après, on trouva les mêmes anticorps chez beaucoup d’humains qui n’avaient pas de leucémie. Au bout de quelques années, on constata que ces mêmes anticorps apparaissent naturellement et sont dirigés contre de nombreuses substances qui n’ont rien à voir avec les rétrovirus. On comprit alors que le HL23V n’existait pas. Or, les « preuves » que Gallo donna de l’existence du HL23V sont celles-là même qu’il ressortit pour le VIH. Elles étaient même plus tangibles car, contrairement au cas du VIH, Gallo trouva de la transcriptase inverse dans des tissus frais, sans avoir à faire de cultures. De plus, il publia des clichés du matériel trouvé au gradient de densité 1,16, ce qu’il ne fit pas pour le « VIH ». [M]

La description en 1981 par le Dr Michael Gottlieb du cas de cinq hommes homosexuels de Los Angeles, tous toxicomanes (en particulier aux poppers faits de nitrite d'amyle), mais ne se connaissant pas du tout, sera une aubaine pour une "nouvelle" recherche dans la continuité d'un virus du "cancer gay", qui recouvrira ensuite les quatre "H": homosexuels, héroïnomanes, hémophiles, et Haïtiens (un des pays les plus pauvres de la planète, donc avec une population parmi les plus dénutries). Michael Gottlieb s'est d'emblée conformé au paradigme dominant, à savoir la causalité virale et contagieuse des maladies, plutôt que d'invoquer d'autres facteurs environnementaux. [B:112]

 

Des associations mercenaires des laboratoires pharmaceutiques

Les laboratoires pharmaceutiques trouveront un relai médiatique dans des associations "à but non lucratif" apparemment défenseuses des malades et qu'elles financeront abondamment, ainsi que les contribuables par l'intermédiaire d'Etats désinformés. Ainsi, elles appuieront toujours la thèse officielle (sauf de rares exceptions comme Act Up San Francisco) et accéléreront l'autorisation de la mise sur le marché du délétère AZT, en dépit de l'insuffisance des tests préalables. Il faut savoir qu'un des présidents d'Act Up France, Philippe Mangeot, est le fils de Jean-Pierre Mangeot, président jusqu'en 1995 de Wellcome, le laboratoire qui mit sur le marché l'AZT). Et en 2001 et 2002, des associations comme Act Up Paris et Aides étaient parties civiles dans le procès qui les opposaient aux protagonistes des produits de Mirko Beljanski destinés à stimuler le système immunitaire (et non à attaquer quelque virus), n'amenant pourtant aucun témoin à charge (malgré un appel à témoin publié en mars 1997 dans la revue Remaides, n° 23, de l'association Aides [J]), et mettant en avant des arguments légalistes, ce qui était bien paradoxal de la part d'Act Up Paris, qui prônait et organisait des actions illégales pour des intérêts légitimes.

 

La définition du sida

Le sida (syndrome d'immunodéficience acquise) est donc un syndrome, c'est-à-dire un ensemble d'indices cliniques objectifs relevés par les médecins et de symptômes (c'est-à-dire d'indices subjectifs). C'est un préalable à la détermination d'une maladie qui correspond à ce syndrome. Par exemple, un syndrome grippal n'implique pas nécessairement qu'on ait la grippe (causée par un virus orthomyxoviridae). De la même façon, il pouvait y avoir des personnes qui étaient séropositives aux tests "VIH" et qui n'avaient jamais de sida et des personnes qui étaient séropositives mais ne développaient jamais de sida.

Par ailleurs, pour des biologistes comme Stefan Lanka, il ne s'agit pas d'immunodéficience, car des maladies bactériennes devraient advenir. Il s'agit plutôt d'un syndrome acquis d'insuffisance d'énergie (SAIE) [L].

 

L'indétermination du "VIH" (un virus fantôme)

 

Montagnier l'affirme lui-même à propos des travaux de son équipe: « Ce que nous n'avons pas eu, et je l'ai toujours reconnu, c'est la preuve que nous étions véritablement en présence de l'agent causal du SIDA. » [H]

Seuls 60% des enfants dont la mère enceinte est diagnostiquée sidéenne, sont diagnostiqués sidéens, alors qu'ils sont en contact durant neuf mois, à travers un placenta perméable aux virus [F:33-34].

Seuls 20% des partenaires sexuels réguliers hétérosexuels d'une personne diagnostiquée sidéenne ont le même diagnostic [F:34].

Neuf ans après un diagnostic de séropositivité VIH, plus de la moitié des diagnostiqués ne présentent aucun symptôme de sida et beaucoup ne sont même plus séropositifs [F:34]

Le VIH serait présent dans le sang, la salive, la sueur, mais ne se transmet ni par les moustiques, les baisers, le contact cutané [F:14].

Le sarcome de Kaposi se développait autant chez les séronégatifs que les séropositifs, ce qui démontrait que sa causalité n'était pas infectieuse [B:142].

 

 

Les tests "VIH"

Les tests Elisa et Western Blot ne prouvent la présence d'aucun virus, car ils ne mesurent que la présence d'anticorps censés réagir à des antigènes (virus ou autres).

Le test Elisa est censé être le plus sensible et est utilisé en premier test.

Le test Western Blot est censé être le plus sélectif, avec dix bandes qui correspondraient aux dix protéines typiquement et exclusivement relatives au "VIH", mais selon les pays, il faut deux, trois ou quatre bandes qui réagissent pour être séropositif, ce qui fait sérieusement varier le diagnostic selon le pays où il est fait. Et s'il y avait spécificité, les dix bandes devraient réagir et une seule devrait suffire à faire preuve. [B:98]. En plus, ces réactions sont des colorations continueset le même test peut être jugé positif ou négatif selon les laboratoires.

On a voulu utiliser la réaction en chaîne par polymérase (la PCR), méthode (biotechnologie) pour laquelle le chimiste Kary Mullis obtint le Prix Nobel en 1993. Mais Kary Mullis, qui a recherché en vain quelque article scientifique qui prouverait la causalité virale du sida, considère que cette utilisation de la PCR est une "fraude".

 

La cupidité et l'ambition ont mis en concurrence délétère les laboratoires dans une course au brevet d'un test sérologique. Ainsi Robert Gallo a utilisé les échantillons envoyés par l'équipe de Montagnier pour prétendre faire lui-même des "découvertes", et le directeur de l'Institut Pasteur, François Gros (déjà funeste dans ses agissements contre son condisciple Mirko Beljanski), et alors conseiller scientifique du Premier Ministre français Laurent Fabius, a fait en sorte que le test états-unien de Robert Gallo ne soit pas homologué en France durant plusieurs mois, afin de protéger le développement du test concurrent de son cher Institut Pasteur qui n'était pas encore prêt: cela a constitué une part du scandale du sang soi-disant contaminé, dont le volet scientifique (contrairement au volet politique), n'a jamais été jugé en France.

 

 

Les "cofacteurs" selon les officiels du sida.

Luc Montagnier, lauréat du Prix Nobel de Médecine en 2008 pour sa "découverte" du "VIH" 26 ans auparavant (il aura fallu du temps pour une "découverte" autant médiatisée) ne va pas jusqu'à annihiler la "découverte" qui lui a assuré la gloire, mais il réduit son importance à bien peu:

Le virus est "probablement très ancien" et "peu pathogène jusqu'à une époque récente", à cause de "cofacteurs liés à notre civilisation", des "modifications immunitaires par la pollution, l'alimentation, des effets psychologiques" (Bulletin de l'Ordre des Médecins, juillet 1988, n° 7, p. 7-8) [F:14]

Au congrès d'Amsterdam, en 1997, Montagnier dit : « Nous pensions que ce seul virus était responsable de cette destruction. Maintenant nous pensons qu'il est bénin et pacifique et qu'il ne devient dangereux qu'en présence d'autres organismes, ce que j'appelle des cofacteurs. »

En 1997: « Ce que nous n'avons pas eu, et je l'ai toujours reconnu, c'est la preuve que nous étions véritablement en présence de l'agent causal du SIDA. [...] en se fondant sur la seule morphologie, il n'était pas possible de dire qu'il s'agissait vraiment d'un rétrovirus. [...] Je le répète, nous n'avons pas purifié. » [H]

« On peut être exposé au VIH plusieurs fois sans être infecté de façon chronique, Notre système immunitaire se débarrassera du virus en quelques semaines, si vous avez un bon système immunitaire, Et c’est cela aussi le problème des Africains: leur nourriture n’est pas très équilibrée. » [G]

Robert Gallo, dans le Times du 8 mai 1987, à la suite d'un sida mortel survenu brusquement après une vaccination anti-variolique d'un soldat états-unien, suppose que le sida en Afrique a comme cause la vaccination anti-variolique massive du programme Who [F:138, 14]

En 1994, lors d'une conférence du NIDA (National Institute on Drug Abuse), Robert Gallo admet que le sarcome de Kaposi qui a atteint les hommes homosexuels ne pouvait pas être causé par un virus mais que la principale cause en était les poppers (nitrite d'amyle) [B:57].

 

 

Les causes des sidas

- La toxicomanie

Le popper (nitrite d'amyle) était très utilisé par les hommes homosexuels depuis les années 1960 comme drogue sexuelle [B:54-56]. Dans le sang, il se transforme en oxyde de nitrite, endommage les parois internes des vaisseaux sanguins, ce qui explique l'importance chez les hommes homosexuels du cancer des capillaires: le sarcome de Kaposi [B:56], qui chez eux se développe surtout vers le visage, en particulier le nez, la bouche et le palais, vers la zone d'inhalation (alors que classiquement, il se développe surtout aux jambes) [B:142].

Depuis une étude française de 1909, confirmée depuis, on sait que l'héroïne et autres drogues opiacées causent une immunosuppression qui fait apparaître diverses maladies du sida: tuberculose, pneumonie, problèmes neurologiques, perte de poids, fièvre persistante, lymphadénopathie [B:61-62]

 

- L'intoxication médicamenteuse

Suite à la lutte pour les droits civiques, les hommes homosexuels ont été très suivis médicalement dans les années 1970. Ils ont été abondamment vaccinés, et beaucoup d'entre eux, afin d'éviter les maladies sexuelles transmissibles auxquelles le nombre de partenaires sexuels les exposait, prenaient beaucoup d'antibiotiques (comme depuis 1969 les cotrimoxazols: Septrim et Bactrim), qui ont été reconnus comme immunosuppresseurs [B:60-61, B:80], de même que les corticostéroïdes et autres immunosuppresseurs chez les hémophiles afin d'éviter le développement d'anticorps aux facteurs de coagulation qu'on leur injectait [B:80-81].

En 1993, l'essai Concorde démontrait que les séropositifs traités précocement survivaient plus longtemps avec un placebo qu'avec l'AZT.

Quant aux trithérapies utilisées à partir de 1996, elles ne sont pas vraiment "la" cause la diminution du sida. La mortalité du sida en Occident a décru à partir de 1994, et les médicaments ajoutés au délétère AZT n'ont fait que diminuer ses effets néfastes.

 

- La fréquence des transfusions de produits sanguins (La répétition d'injections de facteur VIII)

Depuis 1969, les hémophiles ont été traités par des facteurs de coagulation de remplacement. Le système immunitaire réagit à l'injection de ces substances étrangères par une production d'anticorps inhibiteurs contre elles, ce qui a été compensé par une augmentation des doses perfusées de facteurs de coagulation, épuisant à la longue le système immunitaire. Le foie, principal organe pour l'élimination des déchets métaboliques, est très sollicité et épuisé, d'où les maladies hépatiques des hémophiles, jusqu'à l'amélioration des techniques de purification des produits extraits du sang et la fabrication de facteurs recombinants de coagulation par la biotechnologie. [B:63-64]  D'ailleurs, pour le biologiste Stefan Lanka, L'hépatite est une maladie auto-immune.

 

- La malnutrition

La malnutrition, surtout en protéines, cause une atrophie des tissus lymphoïdes (contenant les cellules immunitaires) et particulièrement du thymus où se forment les lymphocytes T. Cela explique l'importance du sida dans les pays pauvres (Afrique, Haïti) [B:65]. Dans la zone intertropicale, le déficit protéinique est aggravé par des maladies endémiques du système digestif qui causent des diarrhées [B:66].

Chez les héroïnomanes, leur monomanie leur fait perdre l'appétit et une nutrition correcte [B:62].

 

- La fréquence des collectes de sang

Il y a eu des reportages sur des cas de sidas dans une province chinoise (le Henan) où la population vendait son sang. On a dit qu'ils étaient contaminés par les seringues, dans cette province peu visitée où le virus incriminé avait peu de chance d'être arrivé. En fait, c'était des personnes dans la misère, donc déjà mal nourries, mal soignées, qui vendaient trop de leur sang (jusqu'à plusieurs prélèvements par semaine pendant des années). Encore plus affaiblies par ces saignées, il est fatal que leur système immunitaire en particulier, et leur santé en général, se soient effondrés. [B:187-188]

 

- Le stress psychique

Le stress psychique causé par le diagnostic d'une séropositivité, aggravé dans les années 1980 par la stigmatisation, l'exclusion sociale, cause une surproduction de certains neuromédiateurs, en particulier le cortisol qui est une hormone immunosuppressive [B:152]. En plus, le cortisol, qui fait sortir de nombreux lymphocytes de la circulation sanguine,  est produit à son maximum le matin, à l'heure où sont effectués les prélèvements sanguins [B:153]. Diagnostiqué séropositif, la personne prend des médicaments qui ont un effet sur sa santé qu'elle attribuera au sida, augmentant son stress [B:154].

 

Faire peur avec des statistiques biaisées afin d'alimenter la pompe à finances

Afin de nous effrayer, d'encourager nos dons, des statistiques sont données, mais d'autres sont occultées : ainsi on nous "surinforme" de statistiques de contaminations, surtout en Afrique, qui sont des statistiques interpolées où tout est mélangé: autres maladies comme la pneumonie, malnutrition, etc.

En particulier, on n'entend jamais les statistiques annuelles de mortalité du sida en France, et pour cause: ils sont si faibles que le sida devrait être une maladie orpheline, alors que c'est la cause de décès la plus financée par décès.

L'Institut National d'Études Démographiques (INED) [N] donne comme pic de la mortalité du sida 1994 (4860 humains, dont 3986 mâles et 874 femelles), et la dernière année qu'il publie est 1999, avec 978 humains morts (763 mâles, 215 femelles). L'INED ne donne plus d'information pour les années suivantes..., mais la baisse s'est poursuivie, et que la mortalité ces dernières années en France est d'environ de 400 par an (sur plus de 500.000, dont 200.000 par cancer, 65.000 à cause du tabac, 55.000 par l'alcool, 12.000 par suicide, 5.000 sur les routes, 5.000 par l'amiante)...

Il est remarquable que selon ces statistiques, le sida en France tue presque quatre fois plus d'hommes que de femmes au bout d'une vingtaine d'années, ce que ne peut expliquer une causalité par un virus contagieux alors que l'homosexualité masculine exclusive ne concerne qu'environ un pourcent de la population (mixte); mais il y a eu une volonté de faire croire que les femmes étaient autant menacées que les hommes, voire plus, le fameux virus se "transmettant" plus de l'homme pénétrant et éjaculant vers le pénétré (vaginalement ou analement) que l'inverse selon certains, alors qu'il est protecteur selon d'autres (Montagnier en 2000 dans Qu'est-ce que l'humain?, sous la direction d'Yves Michaud, éditions Odile Jacob, p. 347). Mais les statistiques infirment cette propagande.

 

 

 

 

 

Conceptions de la causalité virale

 

Il y a un "VIH", cause du sida

Le "VIH" cause le sida mais les cofacteurs sont très importants

Il y a un virus isolé appelé à tort "VIH", mais ne causant pas le sida

Il n'y a eu aucun virus isolé appelé "VIH"

Comme pour le sida, il n'y a pas de virus pour d'autres maladies qu'on dit virales

Françoise Barré-Sinoussi, Robert Gallo

Luc Montagnier, Michel Bounan

Peter Duesberg

Etienne de Harven, Eleni Papadopulos

Stefan Lanka

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Note

* Le virologue Stefan Lanka affirme que depuis la fin du 19e siècle, l'aviculture de masse accuse un virus de "grippe aviaire" (de "peste aviaire", disait-on d'abord) pour expliquer la coloration en bleu de la crête, la diminution de la ponte, les plumes pendantes, et la mort des animaux, plutôt que d'accuser les usages de cette industrie (cages, alimentation, médicamentation). Or on ne remarque aucune surmortalité des oiseaux sauvages accusés de répandre ce soi-disant virus. Mais les firmes occidentales, si le prix du marché de la volaille diminue, peuvent avec la complicité de leurs vétérinaires, déclarer une maladie infectieuse, et récupérer en subventions pour chaque animal massacré le prix maximal garanti par les gouvernements. [K]

 

 

Mortalité par maladies infectieuses en France. Tendances évolutives et situation actuelle. Source : Certificats de décès. Synthèse réalisée par l’unité SC8 de l’INSERM (F. Pequignot, E. Michel, A. Le Toullec, E. Jougla)http://www.cepidc.inserm.fr/inserm/html/pdf/13-26.pages17_21pdf.pdf ).

Le pic de mortalité de patients séropositifs aux tests VIH en France est atteint en 1994 avec 4.860 décès, pour descendre à 1.274 en 1997 (1.025 hommes et 249 femmes)