La mortalité du sida en France
Alors qu’on nous rabat les oreilles (sans parler des panneaux publicitaires) pour nous faire peur avec le sida et susciter des dons, on n’entend presque jamais les statistiques de mortalité du sida en France. Par contre, on entend assez souvent que (sur 600.000 décès par an en France), il y en aurait environ 200.000 par cancer, 200.000 par maladie cardio-vasculaire, 65.000 par tabagisme, 55.000 par alcoolisme, 12.000 par suicide, 5.000 par l'amiante, 4.000 d’accidents routiers, etc.
Sur le site de l'Institut National d'Études Démographiques (INED), se trouvent les statistiques de mortalité jusqu’en 1999, mais pas après (alors qu’on se serait plutôt attendu à l’inverse, avec l’informatisation croissante). Afin d’y parvenir, il faut suivre la procédure suivante : sur http://www.ined.fr/1999/ ; 1 : cliquer sur « Décès par cause, nombre et taux » ; 2 : cocher « Maladies infectieuses et parasitaires » puis cliquer « Valider » ; 3 : cliquer sur « Sida et infection par le virus de l'immunodéficience humaine (depuis 1983) » et ne cocher que « Décès tous âges et indicateurs synthétiques » et cliquer sur « Soumettre la requête » ; 4. Cliquer sur « Accès aux informations »). Je n’ai trouvé que quelques unes des années suivantes (par contre avec des statistiques bien plus détaillées et révélatrices), pour 2000 dans le « Compte-rendu de la réunion hebdomadaire – exposé mortalité et sida – 13 décembre 2005 », fait Caroline Semaille de l’INVS et Charlotte Lewden de l’INSERM, à l’association Act Up Paris (http://www.actupparis.org/IMG/pdf/CR_RH_mortalite.pdf).http://www.actupparis.org/IMG/pdf/CR_RH_mortalite.pdf et dans « Causes de décès des patients infectés par le VIH en France en 2010. Étude ANRS EN20 Mortalité 2010 », dans le BEH (Bulletin Epidémiologique Hebdomadaire) n° 46-47 du 1er décembre 2012, de l’INVS (Institut National de Veille Sanitaire) (http://www.invs.sante.fr/content/download/51642/218195/version/7/file/BEH_46_47_2012.pdf), et pour 2004 et 2010 uniquement dans ce dernier. Il y a aussi le nombre de 1700 décès en 2009 publié sur le site de l’Institut Pasteur, sans aucune précision détaillée, dans un « dossier de presse », donc destiné à la propagation médiatique, et intitulé « Le sida en chiffres » (avec comme « Source : rapport ONUSIDA, novembre 2012 »), et tellement au-dessus des statistiques détaillées des deux articles mentionnés ci-dessus qu’il semble bien gonflé et douteux : « En France, en 2009, 150 000 personnes, dont 48 000 femmes, vivaient avec le VIH/sida. 68 000 personnes se sont contaminées en 2009. Le virus a causé 1700 décès. » (http://www.pasteur.fr/ip/easysite/pasteur/fr/presse/dossiers-de-presse/la-recherche-sur-le-vih-sida-a-l-institut-pasteur/le-sida-en-chiffres).
Voici le tableau récapitulatif, dans lequel sont ajoutées des statistiques de mortalité selon le sexe.
De quoi meurent les morts ? Grâce aux deux articles d’où sont issues les statistiques de mortalité de 2000, 2004 et 2010, on s’aperçoit rétrospectivement que l’intitulé des statistiques de l’INED est erroné et trompeur, car il ne s’agit pas des nombres de « décès » par « Sida et infection par le virus de l'immunodéficience humaine », mais du nombre de morts de patients séropositifs VIH (sinon, il faudrait qu’il y ait eu une exceptionnelle diminution en 2000 de la mortalité du sida de presque trois fois par rapport à l’année précédente. Les statistiques les plus détaillées obtenues sont celles à propos des 964 patients séropositifs aux tests VIH déclarées mortes en 2000, rapportées dans le « Compte-rendu de la réunion hebdomadaire – exposé mortalité et sida – 13 décembre 2005 ». Charlotte Lewden y rapporte : « On a fait une enquête nationale qui interroge l’ensemble des médecins qui prennent en charge des personnes infectées par le VIH. On leur demande de nous signaler les personnes qui décèdent et de documenter un certain nombre de choses comme l’âge, la cause du décès, etc. En 2000 la moitié des 964 décès étaient dus au sida et l’on voyait émerger des cancers non classant sida, en particulier des cancers du poumon. 9% des décès étaient dus à l’hépatite C, 7% à des atteintes cardio-vasculaires, 6% à des infections non classant sida, 4% à des suicides, 3% étaient de causes inconnues, 1% à 5% étaient dus à des traitements. Pour les personnes décédées du sida, la pathologie la plus fréquente était le lymphome, suivis des infections à CMV et des maladies bactériennes comme la pneumocystose et la toxoplasmose. » Donc, la moitié des personnes que l’on pouvait croire déclarées mortes du sida sont « officiellement » mortes d’autre chose, par exemple par suicide, ou d’un cancer du poumon qui peut être causé par le tabagisme ! En plus, Charlotte Lewden relie des morts (en particulier de maladies virales) à des toxicomanies : « Les personnes décédées d’hépatites virales B et C avaient une consommation importante d’alcool, excessive chez la moitié des gens, et de tabac. La moitié des personnes décédées de cancer du poumon fumait. En totalisant sida et non-sida, 269 personnes décédaient de cancer, de lymphome ou de kaposi. Parmi les gens décédés co-infectés par le VHC [virus de l’hépatite C], 31% des cas décédaient de problèmes hépatiques, un peu moins souvent pour l’hépatite B. 60% des décès des gens non co-infectés par les virus des hépatites étaient dus au sida. » Caroline Semaille conclut que « les usagers de drogues ont une progression plus alarmante que les autres groupes », ce qui peut inciter à penser que cette causalité chimique est dominante. Il est aussi remarquable qu’une grande imprécision de mortalité est attribuée à une autre causalité chimique très proche, les traitements pharmaceutiques (« drugs » en anglais…) eux-mêmes), dans un rapport de cinq fois (« 1% à 5% »). La nocivité des traitements est donc très mal étudiée, et donc très mal cernée, et il y a là-dessous une ampleur qui est hautement indéterminée après des lustres de traitements avec des multitudes de drogues pharmaceutiques.
On voit (« Causes de décès des patients infectés par le VIH en France en 2010. Étude ANRS EN20 Mortalité 2010 », tableau 2, p. 543, http://www.invs.sante.fr/content/download/51642/218195/version/7/file/BEH_46_47_2012.pdf),) que la mortalité est passée de 964 décès d’« adultes infectés par le VIH » en 2000 (dont 456 du sida, soit la moitié) à 1042 en 2005, dont 375 du sida (soit un tiers), à 728 en 2010, dont 182 du sida (soit un quart). http://www.invs.sante.fr/content/download/51642/218195/version/7/file/BEH_46_47_2012.pdf Les nombres de décès, si faible, sont peu relayés. Par contre, on trouvera recopiée sur beaucoup de pages cette propagande : « Enfin, le sida ne représente plus qu'un quart des causes de décès des patients infectés par le VIH en France, sauf en Outre-mer où cette proportion reste de 36%. Les patients décédant désormais de causes diverses quand leur infection est contrôlée, une prise en charge multidisciplinaire et en particulier en ce qui concerne les cancers, apparait indispensable. »
Le pic de mortalité et les trithérapies On constate que le pic de mortalité est atteint en 1994, avec 4860 personnes. Il est donc impossible d’attribuer la causalité de la baisse de la mortalité en 1995 aux trithérapies, qui ont été introduites en 1996. Il y a là une manipulation qu’on peut comprendre par exemple avec cette affirmation : « Depuis la vaccination, l’épidémie a diminué. » On est amené à penser qu’elle a diminué à cause de la vaccination, ce qui peut être faux : une épidémie peut avoir naturellement fortement diminué avant la vaccination, et beaucoup moins après. Enfin, une mortalité diminuée après la substitution d’un traitement par un autre ne prouve pas que le second soit plus efficace, car on peut supposer aussi que le premier traitement était plus nocif. Cette seconde hypothèse semble plus adéquate, car le premier traitement consistait en AZT, dont l’essai Concorde a prouvé en 1993 qu’il tuait plus les patients qui en prenaient précocement que ceux qui n’en prenaient pas.
La mortalité selon le sexe : où sont les femmes ? Selon le tableau statistique du Center of Disease Control (CDC qui est à l’origine de la description du sida en 1981) qu’on trouve sur son site (http://www.cdc.gov/mmwr/preview/mmwrhtml/figures/r402a1t1.gif ou à « Table 1 » à http://www.cdc.gov/mmwr/preview/mmwrhtml/rr5402a1.htm#tab1), lors d’une copulation pénienne-vaginale, pour les hommes (« Insertive penile-Vaginal intercourse »), il y aurait un risque de 5 « acquisitions de VIH » sur 10.000 expositions ; alors que pour les femmes, (« Receptive penile-vaginal intercourse »), il y aurait un risque de 10 « acquisitions de VIH » sur 10.000 expositions.
Il y a deux conséquences : - Il y aurait donc un risque double pour les femmes que pour les hommes pour des relations sexuelles les plus habituelles ; - Il y aurait donc en moyenne une « acquisition de VIH » pour 2.000 coïts pour les hommes et pour 1.000 coïts pour les femmes. Or, avec 8,7 copulations par mois en moyenne en France pour les personnes ayant une activité sexuelle la dernière année (« 87,2% des femmes et 91,4% des hommes » : http://csf.kb.inserm.fr/csf/PDF/FREQActiviteSexuelle.pdf), il faudrait 19,2 ans pour atteindre 2.000 copulations, et 9,6 ans pour 1.000 copulations, avec que des partenaires séropositifs (sinon, ce serait d’autant plus long) ! Comme l’ « acquisition du VIH » se ferait autant au début qu’à la fin de ces 19,2 ans, elle se ferait en moyenne au bout de 9,6 ans de ces copulations pour les hommes et 4,8 ans pour les femmes (toujours qu’avec des partenaires séropositifs) ! On peut en conclure que si c’était une maladie sexuellement transmissible par un virus, ce serait le virus le plus récalcitrant à se transmettre, le virus le moins virulent... C’est bien ce que se résignent à admettre à contre cœur des officialistes viralistes dans le film de Brent Leung : The House of Numbers (La Maison des Nombres) : Après une étude de dix ans sur la transmission de « VIH » entre des partenaires sexuels (« heterosexual Transmission of Human Immunodeficiency Virus (HIV) in Northern California : Results from a ten-year Study », avec Stephen C. Shiboski, Sarah O. Glass et Eric Vitinghot, dans American Journal of Epidemiology) , Nancy S. Padian conclut : « Je pense que le VIH est plus difficile à transmettre que probablement la plupart des maladies sexuellement transmissibles. Je veux dire, je pense que c’est assez largement connu. » (House of Numbers, 43mn30s) James Curran confirme : « Le VIH est remarquablement difficile à transmettre. » (The House of Numbers, 44mn). « La menace de pandémie mondiale de Sida parmi les hétérosexuels est terminée, admet le rapport », The Independant, dimanche 8 juin 2008 (44mn50s). Une autre conséquence logique aurait dû être le fort taux de maladie des femmes, qui aurait dû être beaucoup plus contaminées par les hommes (que ce soit vaginalement ou analement) que l’inverse, surtout que l’homosexualité est ultra-minoritaire, et l’homosexualité stricte sans partenaires hétérosexuels sur toute la vie, encore plus rare (0,3% des personnes, soit 0,15% de la population pour les hommes) : « en France : 4,0% des femmes et 4,1% des hommes de 18 à 69 ans déclarent avoir déjà eu des pratiques sexuelles avec un partenaire du même sexe. […] Seuls 0,3% des femmes et des hommes n’ont eu au cours de leur vie des pratiques sexuelles uniquement avec des personnes du même sexe. […] 1% des femmes et 1,6% des hommes ont eu une relation sexuelle avec une personne du même sexe au cours des douze derniers mois. […] 0,5% des femmes et 1,1% des hommes se définissent comme homosexuels. […] 0,8% des femmes et 1,1% des hommes se disent bisexuels. » (Blandine Grosjean : « 1%, 4%, 10% ; d'homosexuels en France... qui dit mieux ? », 17 octobre 2010 http://www.rue89.com/rue69/2010/10/17/1-4-10-dhomosexuels-en-france-qui-dit-mieux-171376). Or, que constate-t-on en France en 2010, au bout de trente années d’« épidémie » (voire de « pandémie », pour les plus alarmistes ou terroristes) : trois quarts des morts sont des hommes, soit une mortalité trois fois plus élevée des hommes que des femmes, alors qu’il y a 52% de femmes en France ! C’est incompréhensible pour une maladie sexuellement transmissible où les femmes seraient au moins deux fois plus sensibles que les hommes. C’est pire si on considère la sodomie, qui est censée être 7,7 fois plus « contaminante » passivement qu’activement, car « entre 25 et 49 ans, les femmes sont seulement 12% à dire qu’elles la pratiquent souvent ou parfois », et « parmi les personnes de plus de 60 ans, 26% des femmes […] l’ont expérimentée » (« Pratiques sexuelles: convergences et divergences entre femmes et hommes » : http://csf.kb.inserm.fr/csf/PDF/PratiquesSexuelles.pdf)) ; or, les femmes ne peuvent connaître la sodomie que sous son aspect considéré comme le plus « contaminant », et si elles pratiquent proportionnellement moins la sodomie que les hommes homosexuels, elles représentent la moitié de la population, alors que ceux-là ne représentent qu’un deux-centième : elles auraient donc dû être bien plus contaminées que les hommes. Dans le BEH (Bulletin Épidémiologique Hebdomadaire) n° 46-47 du 1er décembre 2012, de l’INVS (Institut de Veille Sanitaire), dans « Causes de décès des patients infectés par le VIH en France en 2010. Étude ANRS EN20 Mortalité 2010 » (http://www.invs.sante.fr/content/download/51642/218195/version/7/file/BEH_46_47_2012.pdf), on constate que la mortalité par sida en France en 2010 est à 75% masculine, soit trois fois supérieure chez les hommes que chez les femmes (p. 542), soit une trentaine d’années après le début de ce qui est présenté comme une maladie sexuellement transmissible, où les femmes seraient deux fois plus contaminables que les hommes dans une relation pénis-vagin. Il est notable que dans le même tableau, la « durée médiane connue de l’infection VIH est de 14,5 années (avec une étendue interquantile de 6,8-21,2 années). Il y a un illogisme criant là-dedans. Toutes ces décennies, on a voulu nous terroriser avec un sida hétérosexuel qui menacerait donc la plupart des personnes. Et la dissimulation des statistiques officielles a été un instrument de propagande de la terreur. Cela a fonctionné : cinq millions de tests VIH sont effectués chaque année en France pour une mortalité officielle d’un millier de personnes, alors que 500.000 tests hépatite C sont effectués chaque année en France, soit le dixième, pour une mortalité de 4.000 personnes, soit le quadruple, ce qui donne une proportion de tests effectués par rapport à la mortalité d’une proportion quarante fois supérieure pour le sida que pour l’hépatite C, ce qui n’est guère rationnel. Il est remarquable que le brevet d’un test VIH a été déposé le 23 avril 1984, le jour-même où il annoncé lors d’une conférence de presse avec Margaret Heckler, ministre de la Santé du gouvernement états-unien de Ronald Reagan, avoir découvert la « cause probable du sida ». La restriction « probable » disparaîtra sans raison ????. Luc Montagnier souligne dans Des Virus et des hommes que les articles de son équipe en 1983 n’avaient pas suscité l’adhésion de la communauté scientifique, qu’on attentait que la vérité descende de l’autorité des Etats-Unis, et qu’il ne s’agissait même pas d’un article scientifique, mais d’un événement médiatico-politique. « La communauté des virologues français se résignait à ne voir venir la lumière que d'outre-Atlantique. Jacques Leibovitch lui-même, si en avance pour proposer un rétrovirus, en était resté au HTLV et a encore fait paraître en mars 1984 un livre intitulé Un virus venu d'ailleurs où le HTLV est présenté comme la cause du SIDA et où le LAV [premier nom du VIH] n'a droit qu'à un paragraphe.» (p. 64). Montagnier accusera Gallo d’avoir volé les résultats de l’équipe française et il s’ensuivra une bataille juridique de plusieurs années sur les très lucratifs tests, qui s’est conclu par un compromis qui récompense la tricherie de Gallo. Le Prix Nobel de 2008 officialisera l’imposture de Gallo en ne récompensant que l’équipe française.
Bibliographie
Brent W. Leung House of Numbers ou La Maison des Nombres ou Sida, la choquante vérité (2009) (Vilta Production, 2009) http://lucadeparis.free.fr/index/leung_sida.htm
Caroline Semaille (INVS) et Charlotte Lewden (INSERM), 2005 : « Compte-rendu de la réunion hebdomadaire – exposé mortalité et sida – 13 décembre 2005 » (http://www.actupparis.org/IMG/pdf/CR_RH_mortalite.pdf).
Blandine Grosjean : « 1%, 4%, 10% ; d'homosexuels en France... qui dit mieux ? », 17 octobre 2010 http://www.rue89.com/rue69/2010/10/17/1-4-10-dhomosexuels-en-france-qui-dit-mieux-171376.
Caroline Roussillon, Sandrine Hénard, Lucile Hardel, Éric Rosenthal, Albertine Aouba, Fabrice Bonnet, Françoise Couturier, Patrice Cacoub, Thierry May, Dominique Salmon, Geneviève Chêne, Philippe Morlat et le groupe Mortalité 2010 : « Causes de décès des patients infectés par le VIH en France en 2010. Étude ANRS EN20 Mortalité 2010 », dans le BEH (Bulletin Epidémiologique Hebdomadaire) n° 46-47 du 1er décembre 2012, p. 541-545, de l’INVS (Institut de Veille Sanitaire) (http://www.invs.sante.fr/content/download/51642/218195/version/7/file/BEH_46_47_2012.pdf)
« Le sida en chiffres », Institut Pasteur (http://www.pasteur.fr/ip/easysite/pasteur/fr/presse/dossiers-de-presse/la-recherche-sur-le-vih-sida-a-l-institut-pasteur/le-sida-en-chiffres).
Nathalie Bajos (Inserm), Michel Bozon (Ined), Nathalie Beltzer (ORS), 2007 : « Contexte de la sexualité en France » (CSF) (http://csf.kb.inserm.fr/csf/Premiers-resultats-CSF-noData.html : - « Fréquence de l’activité sexuelle : une augmentation chez les femmes de plus de cinquante ans » : http://csf.kb.inserm.fr/csf/PDF/FREQActiviteSexuelle.pdf ; - « Homosexualité : augmentation chez les femmes, stabilité chez les hommes » : http://csf.kb.inserm.fr/csf/PDF/HOMOFemmes.pdf ; - « Pratiques sexuelles : convergences et divergences entre femmes et hommes » : http://csf.kb.inserm.fr/csf/PDF/PratiquesSexuelles.pdf)
19 octobre
Je remercie H. J. pour son soutien, l’émulation et l’indication de certaines sources.
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