Journal divers de l'an 2012

Philosophie, humour, idées

Sur la tamise, la lumière que t'as mise tamise ta mise, dont l'ombre sombre sur Londres.

Philanthrope : se dit rarement d'un amoureux de l'humanité (opposé à l'haineux misanthrope), mais le plus souvent d'un riche capitaliste qui veut se donner bonne conscience et s'acheter une réputation en donnant une part superflue de sa fortune.

Avec la complicité et même la trahison des politiciens, des services publics comme la première chaîne. Télévisées française sont vendus à des industriels comme le bâtisseur Bouygues qui veut pouvoir contrôler les politiciens. Ensuite, le directeur de TF1 , Patrick Lelay, explicite qu'il vend, à travers des programmes abrutissants, le "temps de cerveau disponible à coca Cola."

Dans ta fabrique de bronzes, mon sceptre d'or répandra ses poissons d'argent, te hissant plus haut sur le podium.

En fait, le concept de démocratie a été dévoyé alors que sa réalisation devenait de plus en plus possible, de par le niveau d'enseignement plus élevé (scolarité, lecture, écriture).

|La première utilisation dévoyée du mot « démocratie » semble électoraliste, démagogique : il s’agit du Parti Démocrate aux États-Unis. Il s’appelait d’abord « Parti Républicain », créé par James Madison avec Thomas Jefferson vers 1792, en opposition au Parti Fédéraliste centralisateur d’Alexander Hamilton, et devient après le Parti Démocrate-Républicain avant d’être uniquement appelé « Parti Démocrate », abandonnant donc progressivement le nom de son opposant actuel, indiquant ainsi que la démagogie des étiquettes.

"j'aie autant que lui. Si je ne peux être suprême, nous devons être égaux. Mon désir de possession exclusive est discipliné par ma peur de ses empiétements, et l'espoir que si je l'admets au même droit, il n'essayera pas d'avoir plus ». En d'autres termes, « l'égalité est le plus petit commun multiple de tous ces désirs et de toutes ces peurs contradictoires ». Si cette évolution psychologique est possible, c'est que, comme S. Isaacs l'a très profondément aperçu, le désir de posséder n'est pas un instinct, et n'est jamais fondé (ou très rarement) sur une relation objective entre le sujet et l'objet. Ce qui donne à l'objet sa valeur, c'est la « relation à autrui ». Seule la nourriture a une valeur intrinsèque pour l'affamé; mais peu d'objets offrent un intérêt constant en tous temps et en toutes circonstances. Ce qui est désespérément désiré, ne l'est que parce que quelqu'un le possède. Un objet indifférent devient essentiel par l'intérêt qu'autrui y porte; le désir de posséder est donc, d'abord et avant tout, une réponse sociale."

Organisme Génétiquement Modifié (OGM) : il ne s'agit pas de n'importe quel individu, mais d'organismes intentionnellement modifiés. L'appellation était originairerment "organisme génétiquement manipulé, mais le lobbying a fait changer le mot. Manipulation signifiait bien l'intention, la main. "Modification" est un euphémisme, une synecdoque, car toute manipulation est une modification, mais il s'agit là de gènes qui ne pouvaient pas arriver naturellement dans l'organisme, par exemple un gène de tomate dans une souris. Il s'agit d'organisme transgénique.

Le choix électoral entre Mc Caïn et Obama, c'était lLe choix entre la frite et l'Afrique.

Je discute avec Francis Cousin qui fait l'éloge du "génos" (dont il donne l'étymologie "souche") germanique, où les décisions se faisaient en assemblée (de qui? du peuple ou d'une eugénocratie?), une société sans monnaie, où les femmes avaient du pouvoir, contre la démocratie marchande athénienne. Il est contre la monnaie, le marché, et lorsque je le pousse, il estime que l'échange, le troc, est apparu avec la pression démographique qui a contraint des tribus qui se haïssaient à se côtoyer, et il doit ainsi rompre avec son rousseauisme premier (un utopisme passéiste du bon sauvage: il faudrait l'interroger sur René Girard; et une aspiration qui rejoint celle de Lucas Degryse).

En relisant des citations de Babeuf, je confirme que contrairement à ce que laissait entendre Cousin, Babeuf était démocrate:

Babeuf est un des rares révolutionnaires à revendiquer la démocratie : « l’un la désire bourgeoise et aristocratique, l’autre entend l’avoir faite et qu’elle demeure toute populaire et démocratique » (cité par Jens A. Christophersen, The Meaning of « Democracy » : As Used in European Ideologies from the French to the Russian Revolution, Universitetsforlagets Trykningssentral, 1968, p. 16 ; cité par Francis Dupuis-Deri dans son excellent article L’esprit antidémocratique des fondateurs de la «démocratie» moderne, Agone, N° 22, septembre 1999, pp. 95-113).

Dans Le Tribun du peuple (29 novembre 1795), rejetant une proposition qui invite les républicains à se liguer contre la monarchie, Babeuf en profite pour se distinguer en démocrate de ses pseudo-alliés républicains :

« Vous ne paraissez réunir autour de vous que des républicains, titre banal et fort équivoque : donc vous ne prêchez que la république quelconque. Nous, nous rassemblons tous les démocrates et les plébéiens, dénominations qui, sans doute, présentent un sens plus positif : nos dogmes sont la démocratie pure, l’égalité sans tâche et sans réserve ». (Ibidem).

La démocratie, c'est cesser de se faire entuber, mais c'est aussi sortir de la servitude volontaire, c'est-a-dire se sortir les doigts du cul.

Pour un ogre ou un cannibale, un menu enfant n'a pas la même signification que pour nous.

|L'ochlocratie peut être un gouvernement par une minorité (par ailleurs peut-être manipulée), contrairement à la démocratie qui est le gouvernement de tous les citoyens.

Le dossier de Science et Vie (n° 1133, février 2012) sur "La faute aux microbes" se décrédibilise dès l'avant-propos "La revanche de Pasteur" (p. 5), en invoquant comme causes aux maladies du cerveau premièrement le vécu psychique (Freud, traumatismes), deuxièmement les gènes, et troisièmement les microbes, excluant donc la causalité qui gêne l’industrie chimico-pharmaceutique et que je dénonce dans Le microbe bouc-émissaire, la causalité toxique des industries humaines surtout depuis un siècle et demi.

De même qu'on parle plaisamment d'"aptonymes" pour les noms propres qui correspondent à la fonction de ce qu'ils dénomment, on pourrait parler ici d'anti-aptonyme ou d'imposturonymes...

Au colloque sur René Girard et la théologie, j'aborde Jean-Pierre Dupuy qui venait de dire que Don Juan dénonçait hypocritement l'hypocrisie, en lui disant que Dario Fo dans Mort accidentelle d'un anarchiste, mettait en scène un imposteur qui dénonce l'imposture (à propos de la défenestration dans un commissariat de police d'un anarchiste arrêté suite à un attentat fomenté afin d'accuser l'extrême gauche), et lui dis que Dario Fo et son successeur au prix Nobel de littérature, José Saramago, étaient tous deux opposés à la théorie officielle des attentats du 11 septembre 2001. Il se dit déçu, connaissant l'écrivain portugais. Je lui demande comment il explique que, rappelant dans son livre La Marque du Sacré que la CIA était informée que des terroristes envisageaient de réaliser un Hiroshima aux Etats-Unis, ceux-ci n'aient pas attaqué des centrales nucléaires plutôt que des immeubles. Il me dit que les terroristes comme Mohamed Atta étaient des ingénieurs informés du fait que les centrales nucléaires étaient bien mieux protégées (ah bon? alors qu'ils n'ont pas empêché qu'un avion atteigne son but une heure après le premier?). Je lui parle du ministre des Transports de l'administration George W. Bush, étant présent avec Dick Chesney dans un bunker, avait témoigné que celui-ci était informé plusieurs fois par un jeune homme de l'avancée d'un avion et lui demanda si les ordres étaient maintenus, ce qui a mis en colère Chesney. Jean-Pierre Dupuy connait cet épisode, mais me dit qu'il n'a pas le temps, la vie est courte et il faut faire des choix, qu'on pourrait être sceptique sur tout, la bataille de Iéna le 12 octobre... En fait de temps, je le laisse car je vois qu'il s'oriente vers ses pairs, pressé de les rejoindre.

Son argument est dans le registre temporel l'équivalent dans le registre spatial de ceux qui cherchent quelque chose sous le réverbère parce que c'est éclairé, alors qu'il y a des indices qu'ils l'ont perdu ailleurs.

Il s'agit de rester dans le cadre du socialement admis, comme Lucien Scubla dit que nous étions à ce colloque entre personnes "politiquement correctes", lorsqu'il parlait du seul parti invoquant le nationalisme et ostracisé, alors que Régis Debray remarquait dans son livre Frontières que la quantité de frontières avait augmenté ces dernières années.

Ce qui doit être rémunéré dans le travail, c'est le travail humain en soi, sans l'effet de levier des machines ou du commandement.

Ainsi, par exemple, on ne paierait pas un livreur à vélo beaucoup moins qu'un livreur en camion sous prétexte qu'il livre une moins grande quantité de matériel, à des distances plus courtes.

« Il [Louis Napoléon Bonaparte alias Napoléon II] était très supérieur ….. lourdement. » (Alexis de Tocqueville, Souvenirs, Deuxième partie, chapitre VI, dans Œuvres complètes, tome XII, Gallimard, 1964, p. 211).

La même erreur de jugement de ces orgueilleux qui ont poussé Adolf Hitler et Vladimir Poutine au sommet du pouvoir.

La démocratie a tellement été édulcorée que l'on parle maintenant de "démocratie participative", comme si le fait de participer était un progrès ajouté à la démocratie alors qu'elle consistait pour le peuple à rien moins que gouverner !

|L'élection est un vote pour des personnes, ce qu'il y a de plus complexe et imprévisible; alors que la démocratie, c'est voter pour des textes, des lois, qui sont d'autant plus compréhensibles qu'ils sont rédigés par le peuple et non par des avocats, juristes ou autres spécialistes avec leur jargon incomprhénesible (alors que nul n'est censé ignorer la loi...)..

|La démagogie au sens de manipulation flatteuse du peuple par les politiciens pour leur intérêt n’est guère possible dans une démocratie réelle, où les politiciens n’existent plus (il est aussi remarquable qu’un démagogue est étymologiquement un éducateur, un meneur du peuple, et que ce n’est qu’après que le mot est devenu péjoratif, comme beaucoup de ceux qui concernent le peuple).

"Le nombre est la notion qui permet de dénombrer les choses" (dictionnaire Larousse cité par Xavier de Viviès, "Éclairage cognitif sur la complexité de différents systèmes de numération", http://www.reunion.iufm.fr/recherche/irem/spip.php?article305).

|Par exemple si le nombre de pommes dans un placard est de quatre, celui de poires de trois, et qu'il n'y a pas d'autre fruit, le nombre de fruits dans ce placard est de sept.

Dans les programmes politiques, on voit stéréotypiquement dans les programmes d'extrême-droite ou de droite nationaliste la sortie de l'euro comme monnaie unique, le retour à une monnaie nationale, le contrôle des frontières quant à l'immigration et les marchandises avec un protectionnisme fiscal; et à l'extrême-gauche, il n'est plus question de la sortie de l'euro, il y a la liberté de circulation des personnes (en tout cas depuis que le Georges Marchais a discouru en 1981 contre l'immigration qui faisait diminuer le salaire des travailleurs).

Il me semble que les deux ont tort dans le fait de ne pas dans le cas de l'extrême-gauche, d'être idéaliste, de ne pas être conséquentialiste, c'est-à-dire de ne pas être écologiste, au sens de s'occuper de l'écosystème, et dans le cas de la droite d'être discriminatoire. Le projet de l'extrême-gauche est irréalisable sans étapes.

Comme le dit André-Jacques Holbecq (Ici et Maintenant, mi-mars 2012**), une monnaie unique n'est possible que dans un même système fiscal. Aux Etats-Unis, le transfert monétaire entre Etats peut atteindre un cinquième du budget. Dans l'Union Européenne, c'est un centième. Les peuples européens ne sont pas prêts à verser un cinquième de leurs budgets (par exemple les Allemands vers les grecs) qui, en tant qu'autre pays, a une autre politique que la leur, où ils n'ont eu aucune responsabilité électorale.

En gardant la même monnaie, la Grèce ne peut pas produire d'inflation, et c'est donc les revenus qui diminuent et la pauvreté intérieure qui augmente.

Il faut donc que chaque pays retrouve une monnaie nationale, et qu'il y ait pour la facilité des échanges internationaux une monnaie commune (qui ne soit pas une monnaie nationale comme le dollar ou pétrodollar).

Il faut aussi que cette monnaie soit le monopole de la puissance publique nationale.

Les capitalistes ultralibéraux ont voulu qu'il y ait libre-échange, et ont introduit la liberté du renard dans le poulailler.

Afin de perpétuer les protections sociales des pays les plus antis, plutôt que de les mettre en concurrence des plus pauvres, il faut instaurer une protection douanière, et taxer les produits importés (marchandises, mais aussi services comme les centres d'appel) selon la différence de salaire et de conditions de travail des pays d'origine. Mais, et cela diffère de l'égoïsme ou de la xénophobie d'extrême-droite, l'intégralité de cette taxation doit être reversée au profit de ces travailleurs à l'étranger.

L'immigration dont on parle politiquement est celle des plus pauvres, des miséreux qui quittent leur pays afin d'essayer de vivre plus dignement dans d'autres pays, et souvent à cause de guerres pour les produits exportés vers les pays riches (pétrole, coltan au Congo), ou la destruction de cultures vivrières traditionnelles.

Les immigrés enverraient actuellement trois fois plus de monnaie vers leur pays d'origine que les aides internationales.

Ils préféreraient pour la plupart rester chez eux près de leur famille et amis en vivant dignement, plutôt qu'être contraints à risquer leur vie dans un voyage périlleux vers les pays riches.

Dans les débats nationaux (franco-français ou autres), la gauche et la droite s'étripent en gardant les œillères sur l'étranger, sur les effets de leur politique.

Afin de maintenir le salariat des travailleurs nationaux, il faut une lutte sévère et dissuasive contre les employeurs sous-payant le travail clandestin, illégal, d'étrangers.

Il est très agréable d'utiliser une monnaie unique, et de voyager à travers l'Europe sans contrôle douanier.

Ceci ne pourra être validement généralisé que s'il n'y a plus de différence énorme entre le paiement des travailleurs des différents. Ainsi aussi, la production industrielle sera relocalisée dans les produits riches, et l'agriculture vivrière sera aussi plus relocalisée dans les pays riches comme dans les pays pauvres, ce qui sera un bienfait contre la famine, et contre les coûts de transport (en temps, en pollution, en accidents).

[Elisabeth Julliot] Champollion a tenté de pénétrer le secret de la rose de Pierrette.

Selon Patrick Cohen (C à vous, France 5, mardi 24 avril 2012), la Seine-Saint-Denis est un des départements les plus pauvres de France, et l’explication de Robert Ménard du vote pour Marine Le Pen par la pauvreté ne s’y explique pas, puisqu’elle n’y a fait que 13% (et Mélenchon 17%). Faux : Robert Ménard a raison, la Seine-Saint-Denis est un des départements les plus riches, avec le 15^e PIB par habitant sur 96 départements en 2005 (http://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9partements_fran%C3%A7ais_class%C3%A9s_par_produit_int%C3%A9rieur_brut_par_habitant). Bravo au chien de garde de la pensée unique sur France Inter et France 5, qui colporte stéréotypes et rumeurs sans avoir le temps de s'informer et de travailler ses thèmes, en cumulard qu'il est !

Sur le forum de France 5, l’unique forum où on peut réagir est un forum gastronomique (ce qui n’est pas précisé avant qu'on clique dessus). Dormez tranquilles, citoyens, l’État vous offre de parler du pain et des jeux. Pour le reste, taisez-vous !

Jean-Michel Apathie argumente contre l'importance de l'influence des médias que Jean-Marie Le Pen soit parvenu au second tour de l'élection présidentielle de 2002 et que le peuple ait voté non à 55% contre le traité européen en 2005. Son argument ne prouve rien, car avec une presse différente dans un sens, Jean-Marie Le Pen, après 17% au premier tour, aurait fait plus que que 18% au second, par exemple 30 ou 51%; et le peuple en 2005, autrement (mieux?) informé, n'aurait pas voté non à 55%, mais à 95 ou 93,2%, par exemple. En passant, il reconnaît la pensée médiatique dominante contre Jean-Marie Le Pen et pour le traité européen. Plus généralement, il y a une désinformation sur l'importance de l'imitation dans les processus sociaux (au point que tout ce qui est social est imitatif).

[Réponse à une amie] Il y a une facilité électoraliste si le Front National s'en prend aux immigrés eux-mêmes (et en fait donc des boucs-émissaires), plutôt qu'au système capitaliste néolibéral qui appauvrit les pays pauvres, et qui pousse à l'émigration vers les pays riches afin d'augmenter le nombre de demandeurs d'emplois et diminuer ainsi le prix du travail des métiers les plus pénibles (qui devraient être les plus payés).
C'est pour cela que je suis pour un écologisme: prendre en compte le système international, pas s'arrêter aux problème franco-français des immigrés en France: il faut s'attaquer à ce qui pousse les miséreux à se déraciner, quitter leur famille, risquer leur vie sur des rafiots. C'est pour cela que je suis pour un protectionnisme quant à l'importation, en taxant les marchandises qui ont été faites par des travailleurs sous-payés, et à reverser le montant de ces taxes à ces travailleurs étrangers.
Les capitalistes (comme Laurence Parisot avec son livre) utilisent le FN pour faire croire que la seule alternative à leurs horreurs économiques est une horreur pire, et ils sont bien contents que l'extrême-gauche fasse l'apologie de l'immigration et de l'euro.
C'est aussi pour cela qu'ils ont fait croire avec des sondages (dont Laurence Parisot est propriétaire d'un institut) mensongers que Mélenchon pouvait dépasser Marine Le Pen, en surestimant les votes pour le premier et sous-estimant ceux pour la seconde.

A la fin du documentaire (de 68'15" à 69'08"), Jean-Michel Apathie argumente contre l'influence (« le pouvoir », dit-il) attribuée aux médias que si c'était vrai, Jean-Marie Le Pen ne serait pas parvenu au second tour de l'élection présidentielle de 2002 et que le peuple n'aurait pas voté à 55% contre le traité européen en 2005.
Son argument ne prouve rien, car avec une presse différente, Jean-Marie Le Pen aurait pu faire plus que 17% au premier tour, et surtout (sans le matraquage anti-Le Pen durant deux semaines) plus que 18% au second, par exemple 30 ou 55% ; et le peuple en 2005, autrement mieux informé (comme par l'internaute Étienne Chouard, professeur d'économie) n'aurait pas voté non à 55%, mais à par exemple 95 ou 93,2% (comme les Islandais contre le remboursement de la dette inique).
En passant, Apathie reconnaît donc la pensée médiatique dominante contre Jean-Marie Le Pen et pour le traité européen, et remarquons que dans les deux exemples de Jean-Michel Apathie, le résultat réalisé est le projet de la ploutocratie relayé par les médias dominants, non seulement l'élimination d'un candidat souverainiste, mais surtout pour le référendum, contourné par le gouvernement de Sarkozy en congrès des députés et sénateurs ratifiant à Versailles le traité de Lisbonne.
Plus généralement, il y a une désinformation sur l'importance de l'imitation dans les processus sociaux (car fondamentalement tout ce qui est social est imitatif).

Voulant nier le modelage effectué par les médias, il dit que « les journalistes sont des petites choses »; petitesse qu'on peut lui attribuer pour une autre raison qu'il le pense, et pas à tous les journalistes: les journalistes ont de l'influence, et les petits sont plutôt ces chiens de garde qui ne le reconnaissent pas et nient leur laisse en or; et ceux qui enquêtent sur l'influence et la manipulation médiatique, tels François Ruffin et Pierre Carles, sont de grands journalistes, courageux et admirables.

[Ce Soir ou jamais, France 3, Frédéric Taddeï] Judith Benhamou-Huet, auteur de Les Artistes ont toujours aimé l'argent, compare quant à leur rapport avec la monnaie les artistes contemporains les plus riches ou ayant le plus de succès (Andy Warhol, Damien Hirst, Jeff Koons) avec treize artistes de son choix parmi les plus grands anciens. Son contradicteur, Marc Fumaroli, ne dit pas l'argument le plus pertinent: qu'elle n'utilise pas le même critère pour les artistes anciens; sinon, elle aurait dû parler pour la fin du dix-neuvième siècle de Jean-Louis-Ernest Meissonier et Henri Gervex, les deux peintres ayant le plus de succès à leur époque, plutôt que par exemple Gustave Courbet. Son discours apparaît comme une tentative de justification des artistes mis en avant par le marché de l'art contemporain en utilisant quant aux ambitions monétaires la biographie de quelques artistes anciens réputés.

Pour le pouvoir exécutif, en alternative au tirage au sort de chaque ministre parmi les candidats, il y a l'élection à chaque journée citoyenne (donc tous les quatre mois), sans liste de candidats, à un unique tour, le ministère étant proposé à la personne qui obtient le plus de voix qui l'accepte.

A l'investiture de François Hollande, Il est remarquable que François Chérèque le dirigeant du syndicat CNPF et la patronne du patronat Laurence Parisot étaient voisins et en dialogue.

Ce matin, je plaisante en disant que la pluie à l'investiture de la présidence de François Hollande, c'est un coup de Nicolas Sarkozy et la CIA. Le soir j'apprends que son avion a dû atterrir et qu'il en a repris un autre pour l'Allemagne car il a été touché par la foudre. A l'émission Ce soir ou jamais, une journaliste dit que la pluie reprenait chaque fois qu'Hollande sortait.

L'eugénocratie, c'est le gouvernement par ceux qui ont la "meilleure" naissance (ou parentalité), donc une sorte d'aristocratie, ou proche de l'aristocratie: la différence, c'est que ce n'est pas une qualité intrinsèque.

L'autocratie pourrait être considérée comme un (sous-)type d'aristocratie: le meilleur à s'accaparer le pouvoir, par exemple en assassinant son prédécesseur et ses rivaux.

Lien entre délibération et liberté (ou libre-arbitre): on a cette impression de liberté lorsqu'on peut (on a le temps) de penser, imaginer, les différentes possibilités (les alternatives).

Au colloque sur René Girard et le tragique à la bibliothèque Nationale rue Vivienne, je vois que la plaque de rue a été graffitée et que l'on ne voit plus que "VIE". Et je pense que le surnom de Valérie, la soeur de Ghislaine, était Vivi et celui de Ghislaine Ghislaine: l'une vit et l'autre git.

Le Parti du Vote Blanc est mieux organisé que nous, avec des affiches pour tous où chaque candidat colle son nom. Mais je suis en désaccord avec eux sur le fait de faire un programme sur un point aussi marginal, ni fédérateur ni global ; comme dans le 12e où j'ai vu qu'une candidate isolée, Liliane Hillereau, ne parle que de la vaccination: www.lilianehillereau.fr. Nous ne parviendrons à rien avec une telle dispersion (je pense aussi au Parti Pirate).

Je pense qu'un Rassemblement pour une Démocratie Réelle pourrait se faire en mettant en avant (dans les affiches, les professions de foi, les websites) une liste de propositions faites par les adhérents et toutes mises au vote, et de mettre par ordre décroissant celles qui remportent le plus de votes l'approuvant (en mettant le pourcentage de vote "pour", et éventuellement des colonnes pour les votes "sans opinion" et "contre". Parmi les propositions à soumettre au vote, il pourra par exemple y avoir:
- Référendum d'Initiative totalement populaire/citoyenne : XX%.

- Le vote préférentiel dans tous les scrutins pour choisir nos représentants : XX%.

- Soumettre les fautes lourdes des juges à des jurys citoyens tirés au sort : XX%.

- Intégration du vote blanc dans le pourcentage des voix : XX%.
- Intégration de l'abstention dans le pourcentage des élections : XX%.
- Intégration du pourcentage des non inscrits dans le pourcentage des élections : XX%.

- Droit à un mandat politique à seize ans (puisque c’est l’âge de la fin de scolarisation obligatoire et d’accès au travail) : XX%.

- Chambre législative unique, d'un millier de citoyens tirés au sort pour un an, renouvelée par tiers tous les quatre mois. Je suis curieux d'autres propositions à soumettre au vote d'un Rassemblement pour une Démocratie Réelle : XX%.

Je suis curieux d'autres propositions à soumettre au vote d'un Rassemblement pour une Démocratie Réelle.

Le Rassemblement pour la Démocratie Réelle pourrait s'appeler Démo ou Mouvement Démo; Démonstration de la Démocratie.

Mettre un support d'attache rapide sur les sacs centraux près de la ceinture afin de soutenir le poids de l'appareil rapide sous lequel est vissée une attache rapide.

Selon Pierre Larrouturou (vers 3-6 mn), il y a endettement et chômage depuis l'arrivée au pouvoir de néo-libéraux comme Ronald Reagan il y a 30 ans. Pourquoi omet-il que c'est il y a plutôt 40 ans avec pour la France Pompidou et Giscard (des néo-libéraux non?) avec le 3 janvier 1973 la loi qui a commencé l'endettement de la France?

On prend de l'eau pétillante ou plate? Au point de vue haut, tu es plus pétillante que plate.

Par exemple, des frères et sœurs ont les mêmes deux parents, alors que des demi-frères ou demi-sœurs ont un même parent et un autre parent. Des cousins (ni frère ni sœur) qui ont des parents (et oncles et tantes) qui sont jumeaux homozygotes n'ont pas les mêmes parents, mais ont des parents identiques (sous certains aspects).

[Contre XX qui fustige sur France Inter les Français qui sont contre une économie de marché, lui préférant selon lui une économie à la soviétique ou à la coréenne (du Nord, sans doute)]

Nous ne sommes pas dans une économie de marché mais dans une économie de marchands: dans un marché, il y a beaucoup de petits producteurs, alors que nous avons des oligopoles qui contrôlent le marché.

[Moins plusieurs jours] Est-ce que l'apparition de la sexualité ne serait pas apparue par manducation par une cellule (la femelle) d'une autre (le mâle) dont elle incorpore les gènes.

J'explique que Jacques Monod, dans son livre Le Hasard et la Nécessité, invoque le hasard pour l'apparition de la vie par sa volonté de domination sans concurrence, sans rivalité: il ne veut pas envisager la vie extra-terrestre, donc possiblement plus évoluée, alors qu'il n'y a que la nécessité d'apparition et d'évolution de la vie.

"L’extension du Lebensraum allemand devait fatalement se réaliser aux dépens des populations slaves repoussées vers l’Est. Pour Hitler, la Pologne, les Pays baltes, la Biélorussie et l’Ukraine devaient être traités comme des colonies. À ce sujet, Hitler aurait dit, selon Hermann Rauschning, en 1934 : « Ainsi s’impose à nous le devoir de dépeupler, comme nous avons celui de cultiver méthodiquement l’accroissement de la population allemande. Vous allez me demander ce que signifie « dépeuplement », et si j’ai l’intention de supprimer des nations entières ? Eh bien, oui, c’est à peu près cela. La nature est cruelle, nous avons donc le droit de l’être aussi »." ( http://fr.wikipedia.org/wiki/Adolf_Hitler#.C2.AB_Sous-hommes_.C2.BB_slaves ).

Hitler a une justification "morale" naturaliste ("loi de la jungle", barbarie, imitation de la nature qui tue sans intention) qui montre bien sa psychopathie (absence d'empathie, comme la nature).

[Les 10 plus gros mensonges sur l'économie, p. ] A tricheur, non pas tricheur et demi, mais demi-tricheur: l'Union Européenne, la Banque Centrale Européenne trichent, favorisant les rentiers en augmentant le chômage, et il faut se défendre et mentir comme on mentait aux nazis pour protéger des juifs (contre des lois illégitimes).

Jacques Rueff, unique prix Nobel d'Economie français, affirme ce matin Brice Couturier sur France Culture.
C'est faux: l'unique prix Nobel d'Economie franco-français est Maurice Allais en 1988.
Une affirmation aussi simple à vérifier et fausse (non démentie sur le plateau, même pas par l'inoffensif Joseph Stiglitz, prix Nobel d'Economie présent) est intéressante quant aux propos de Brice Couturier. Celui-ci veut donner un argument d'autorité à Jacques Rueff, qui s'est toujours opposé aux idées de Keynes.
D'une pierre deux coups, il renvoie au néant, comme le fait la pensée économique dominante inféodée aux banques, le grand économiste Maurice Allais, qui dénonçait les banquiers comme "faux-monnayeurs légaux", en s'étant attribué la création monétaire avec intérêts, ce qui explique l'endettement des Etats et l'artificiel "besoin" de croissance du PIB.
Pour comprendre ceci, voir "Les 10 plus gros mensonges sur l'économie": http://lucadeparis.free.fr/index/derruder_mensonges.htm.

Beaucoup de choses ne sont pas dites, surtout que si l'inflation est combattue en priorité, en particulier par la Banque Centrale Européenne, qui a été instituée banque "indépendante" des Etats et de leur politique (donc à l'opposé de l'argumentation de Couturier), c'est dans le but de ne pas "euthanasier le rentier", c'est-à-dire afin de favoriser les capitalistes, les plus riches, au détriment des travailleurs et plus pauvres, qui n'auraient rien à perdre (et même au contraire s'ils ont des emprunts) d'une inflation où les revenus minimaux (SMIC) et minimaux sociaux seraient indexés sur cette inflation.

Si Jimmy Carter avait pu être de gauche, il n'aurait pas favorisé le crédit mais les revenus du travail: c'est bien parce qu'on a confisqué une part des revenus du travail en faveur du capital que les travailleurs ont dû recourir à leur enchaînement au crédit afin de maintenir leur train de vie. Cela a été voulu par les banquiers pour les banquiers, s'enrichissant avec les intérêts, et fabriquant des assujettis. Ce fut bien illustré dans le film diffusé hier "Thank you for smoking", où les plus vils agissements sont "justifiés" par un "Tout le monde a un crédit à rembourser.".

Stiglitz n'a pas grand-chose à répondre, car il ne parle pas du fait que la plupart des Etats ont abandonné la création monétaire au profit des banques privées qui demandent des intérêts pour cette création! Cela s'est produit en France le 3 janvier 1973, et fut le début et la cause de l'endettement exponentiel de la France.

Rembourser la "dette" en restant dans ce système de création monétaire par les banques privées correspond à la destruction de cette monnaie, et donc à une récession par manque de monnaie, et cela se ferait encore une fois au profit des ultra-riches qui privatiseraient les services publics et les biens communs.

En fait, de quoi s'agit-il dans ce discours dominant, partiel et partial? De transférer la causalité d'une politique voulue par les banquiers qui ont placé leurs politiciens laquais au pouvoir (Pompidou directeur général de la banque Rothschild, Giscard dont le petit-cousin Nicolas Giscard d'Estaing deviendra aussi directeur de la banque La Compagnie Financière Edmond de Rothschild), afin de privatiser les profits; ensuite accuser les politiciens d'avoir fait cette politique désastreuse, invalider la politique de l'Etat afin de proposer une politique encore plus au profit des plus riches.

Comme le disent Etienne Chouard, et dans "Les plus gros mensonges de l'économie" Philippe Derudder et André-Jacques Holbecq, la solution est dans une politique non plus inféodée aux seigneurs de la finance, mais dans une réelle démocratie.

Mal réveillé comme il me l'écrit lui-même, Brice Couturier rêve que Jacques Rueff est l'unique prix Nobel français d'Economie.

Pas de correctif à la chronique du lendemain.
La plupart des auditeurs n'auront donc pas l'honneur d'entendre les "mille excuses" qui ne sont que sur cette page internet.
Est-il plus important de faire passer son message aussi faux soit-il que de rétablir une vérité qui dérange? Quelle est la déontologie journalistique?
J'aurais bien aimé entendre le nom de Maurice Allais sur France Culture. Une fois n'est pas coutume.

Le problème de la cheminée, c'est de l'acheminer (puis d'y cheminer[4 novembre]).

« Il y a un professeur en sciences politiques qui dit: c'est absurde pour les partis politiques de consulter leurs adhérents pour choisir les candidats et les têtes de campagne; c'est comme si une entreprise qui vendait du shampoing faisait des enquêtes non pas sur les consommateurs mais sur ses salariés. [...] Là on est un peu dans cette situation où on s'adresse aux salariés de l'entreprise, les adhérents, pour vendre... pour un produit, le parti, le candidat, le programme, qui après va devoir être vendu sur le marché, et sur le marché des électeurs. »

La politologue Florence Haegel affirme que demander aux adhérents d'un parti de désigner leur chef, leurs élites, ce serait comme si on demandait aux salariés d'une firme de choisir ce qui y est produit (éludant le choix de leur patron alors qu'il s'agit de ceci dans le parti...)) alors que ce sont les clients (et les électeurs) qu'il faut séduire, convaincre.

Cette comparaison est une duperie, car les salariés ne sont pas nécessairement adhérents de ce qu'ils font dans la firme de leur patron, et au contraire sont payés, défrayés pour leur travail; alors que les adhérents, à l'inverse, financent, payent leur parti qui se devrait d'être leur œuvre, leur cocréation, leur produit.

Ce n'est pas les cheveux que ces politologues néolibéraux (qui considèrent tout comme marchandise, dans une marchandisation du monde) nous lavent, mais le cerveau.

Il y a deux types de photographes: ceux qui pensent qu'il y a trop de réalité, et veulent créer autre chose (le pictorialisme); et ceux qui pensent qu'il y a trop de mensonges, trop de faux, et veulent révéler la réalité (le réalisme).

La femme allaitante à qui on donne des médicaments qui éviteraient la "transmission du sida" à son enfant est aussi celle qui corrélativement sera la mieux alimentée et soignée par ailleurs.

Faire des photos qui reproduisent le champ visuel humain: dans le noir, s'allume la zone que le regard pointe, avec le flou autour.

Parmi les "girardiens", il y a beaucoup de chrétiens extrêmistes qui adhèrent au piège de l'administration Bush du choc des civilisations. Dupuy, comme il me l'a dit, ignore par exemple Aymeric Chaperade, expulsé de L'école de stratégie militaire pour ses idées hétérodoxes

Parmi les "girardiens", il y a beaucoup de chrétiens extrémistes qui adhèrent au piège de l'administration Bush du choc des civilisations. Dupuy, comme il me l'a dit, ignore par exemple Aymeric Chauperade, expulsé de L'école de stratégie militaire pour ses idées hétérodoxes, démantèle, décèle la fabrication artificielle de l'ennemi islamiste

Dupuy aime citer cette phrase de JK Chesterton qui dit-il reflète sa pensée et celle de Girard « Le monde moderne est plein d’idées chrétiennes devenues folles », C'est bien le cas.

Dupuy connait beaucoup d'éléments pour le moins troublants sur le 11 Septembre. Mais à la fin, il dit devant tant d'incohérences, qu'il ne veut pas approfondir: "La vie est trop courte."." En se reportant à l'époque du mythe d'Oedipe et des tragédies grecques, ce serait comme si à Héraclite (surnommé "l'obscur") remettait en doute les accusations de parricide et d'inceste maternel d'Oedipe, s'excluant de l'unanimité, et qu'on lui répondait: ne nous ennuie pas avec ces histoires, jouissons (sans entraves anti-sacrificielles); la vie est trop courte pour s'ennuyer (avec des dissonances cognitives).

Il prétend que les "terroristes" désignés, accusés, sont des ingénieurs qualifiés, diplomés qui savaient comment faire tomber les tours (les trois?). Il oublie qu'on a dit que la tentative d'attentat de 1993 consistait à tenter de faire tomber une des deux principales tours sur l'autre, alors que là les trois trours se sont effondrées verticalement, ce qui impressionne un spécialiste de la démolition controlée).

Dupuy subit la marque de l'interdit (du sacré si l'on veut): il ne franchit pas la ligne qui l'excluerait de la communauté des "chercheurs" qui ne doivent pas s'éloigner du champ d'éclairage du réverbère que leurs maîtres ont délimité, et en bon chercheur de garde, il dépose ses produits à son pied, rendant hommage à la main qui le nourrit depuis des décennies (en fait toute sa vie), le système où il est né.

Jean-Pierre Dupuy": si la vie est courte, l'argument ne l'est pas moins/l'est encore plus.

On peut préférer avoir plus de contradictions théoriques que de contradictions praxi-théoriques (entre la théorie et la pratique), car ces dernières sont plus flagrantes, alors que la théorisation que fait la plupart des personnes n'est pas très développées

[Michéa p 176] Le terrorisme intellectuel: faire passer la gauche radicale pour de l'extrême-droite.

J'ai vu ce soir au Théâtre Antoine deux pièces édifiantes politiquement correctes: Inconnu à cette adresse de Kressmann Taylor, adapté par Michèle Lévy-Bram, avec Pascal Elbé et Dominique Pinon; et Les derniers jours de Stefan Zweig, de Laurent Seksik, avec Elsa Zylberstein et Patrick Timsit.

Dans la première, le méchant nazi est opposé au libéral. Cet éloge manichéen du libéralisme a ceci de vrai que le libéralisme avait justification de s'opposer aux guerres de religion, mais comme cheval de Troie de s'appliquer aussi à l'économie et faire l e eu du capitalisme.

Dans la seconde, on montre qu'au Brésil, en décembre 2012, la connaissance des massacres de juifs par les nazis était précisément connue, et que donc les trois années et demi suivantes, peu a été fait par le loué Roosevelt (qui aurait douté du témoignage de Jan Karski) et ses alliés pour le dénoncer et l'empêcher dans l'effort de guerre.