Index de
Les Réseaux cachés des pervers
sexuels
d'Éric
Raynaud
(Le Rocher, 2004)
Adjudant M...: 13, 71
Michel
Valet, procureur de la République:
24, 38
Jean
Charbonnier, pédophile voisin d'un frère d'un
ancien ministre d'État: 28,
95, 189, 232
Proximité géographique
de Charbonnier et de l'ancien ministre d'État: 96
Dr
Gabrielle Ségur-Semenoff, pédopsychiatre:
34
Patrick
Dils: 38
Abbé Rogier: 39, 85
Père Nicolas Glencross, curé pédophile photographe de Saint-Léger-des-Vignes:
40-42, 46-47, 49-50, 53, 72, 76, 109, 157, 189, 226-229
Pasteur
Joseph Doucé: 40, 45-46 (assassiné), 51, 53,
76, 80, 109, 226, 229
Bernard
Violet, journaliste: 41-42, 44-47, 52, 53, 79
Robert
Billoué, maire de Saint-Léger-des-Vignes:
43
Maîtresse-femme, bien connue pour ses talents d'organisatrice dans les années 70 [Mme Claude?], proposant des soirées
VIP dans un château à quelques dizaines de kilomètres de
Saint-Léger-des-Vignes; "une vierge: 500 francs": 228
Catherine
Scholastique, juge d'instruction à Paris:
43-45 (mutée), 51, 160, 228
Juge N'Guyen,
remplaçant de
Catherine Scholastique: 45
Bernard
Alapetite: 43, 52
Réseau Toro-Bravo: 45, 75
Charles
Pasqua, ancien ministre de l'Intérieur et
co-fondateur du SAC (Service d'action civique): 51, 135
Roger Frey,
ancien ministre de l'Intérieur et
co-fondateur du SAC (Service d'action civique): 135
Me
Lemarchand, avocat, membre du SAC, député de l'Yonne: 135
Affaire
Ben Barka: 135
SAC
(Service d'action civique): 157
Patrick
Rougelet, RG, la machine à scandales: 135
Patrice
Chairoff, B... comme barbouzes: 135
Renseignements
généraux (RG):
46, 57, 76, 80, 98, 154
Groupe des
enquêtes réservées (GER): 46
Capitaine
Paul Barril: 47 [L'auteur a-t-il rappelé ce numéro de téléphone pour vérifier que
c'était Barril?], 76, 220
Gilles Ménage: 47
Christian
Prouteau, commandant du GIGN (Groupe d'intervention de la gendarmerie
nationale): 76, 220-222 (enquêtant sur un cambriolage et rencontrant Jambert), 229
DST (Direction de sécurité du territoire): 205, 219-222, 225
Pierre-Yves Gilleron, de la DST puis du GIGN: 222
Rémy Pautrat, secrétaire général de la
préfecture de l'Yonne (janvier 1979, mai 1981), chef de cabinet au ministère des Relations extérieures
(après mai 1981), patron de la DST (en 1985): 223
Front
National: 47, 51, 129
Me
Jean-François Roy, avocat de Glencross: 47
Me
Jean-Pierre Mignard, avocat de Glencross, et de plusieurs politiciens: 48-49, 51
Hubert Védrine, conseiller municipal de Saint-Léger-des-Vignes, porte-parole de l'Élysée, et futur ministre des Affaires étrangères: 49, 51, 228
Jean Védrine, père
d'Hubert Védrine, et ami de Nicolas Glencross et de François
Mitterrand: 49
François Mitterrand, chef de l'Etat: 52, 53, 55, 87, 169,
221, 223-226, 229
Christian
Jambert, gendarme mort suicidé de deux
balles dans la tête: 50,
113, 134, 147-148, 152, 163, 164, 174, 178, 183, 192 (tué par une
carabine plutôt que par une arme de poing, à la base
du nez pluôt que dans la bouche), 193 (position du corps allongée bien droite aberrante), 194 (balle manquante dans le garage de Jambert),
196 (trois douilles retrouvées au
lieu de deux), 203 (défaillance
de son véhicule, expertisée comme
"acte de malveillance"), 203 (agressé chez
lui), 203-204 (visité par un
faux VRP à la fausse plaque d'immatriculation de sa voiture, garée loin de la maison), 207 (dont la sacoche d'archives, qu'il avait récupérée de sa cachette chez son fils, disparaît),
208 (précautions
de Jambert: photocopies, collègue témoin), 210 (plein de projets deux jours avant sa mort et affirmant sa
volonté de ne pas
se suicider), 212 (emploi du temps avant sa mort), 213 (stylo du mot retrouvé jamais retrouvé, aucune
analyse graphologique; substitution selon sa fille, avec ajout du mot
"suicide"), 214 (assurance-vie versée,
malgré le suicide officiel), 215 (les balles retrouvées ne sont pas celles de la carabine de Jambert), 216 (efficacité exceptionnelle de Jambert), 217-226 (travaillant à la DST)
Philippe
Jambert, fils de Christian: 200 (étonné que le cadavre de son père soit
dans le garage), 209 (un gendarme de l'Inspection technique de la gendarmerie
nationale affirme que Philippe a interdit qu'on touche à
sa sacoche)
Isabelle
Jambert, fille de Christian: 209 (à qui des
gendarmes affirment faussement qu'une autopsie de son père
a été faite),
213
Dominique
Lecomte, patronne de l'Institut médico-légal de Paris, découvrant
que Jambert ne s'est pas suicidé, ayant reçu deux balles "immédiatement
létales": 187
Contre-expertise d'autopsie de Jambert à Lyon, avec une balle qui ricoche, selon Le
Parisien: 214-215
Pierre
Arpaillange, ministre de la Justice démissionné: 52, 108, 109, 146-150
Henri
Nallet, député de
l'Yonne, remplaçant de Pierre Arpaillange comme ministre de la Justice le 2 octobre
1990: 52
Pierre
Joxe: 52
Claude
Dunand, chauffeur-livreur, condamné à perpétuité pour viols, tortures, séquestrations:
52, 69, 106, 108, 109-110
(condamné le jeudi 31 octobre 1991, veille d'un long week-end férié de la
Toussaint), 111-118 (plainte d'une séquestrée échappée le 20 janvier 1984, et visite des policiers pour libérer l'autre séquestrée seulement le 23 janvier), 125-131, 137-140, 142-147, 149, 152, 170,
241, 243
René Meyer, procureur de la République
d'Auxerre: 116 (informé le 20
janvier 1984 par le médecin
examinant la séquestrée évadée, sur les lieux seulement le 23 janvier); 144, 147, 149 (clément avec Louis), 151
Jacques
Bourguignon, juge d'instruction: 108 (zélé pour libérer Claude Dunand
pour un vice de forme que même son
avocat ne voit pas); 144, 147-149 (clément avec
Émile Louis), 150, 151, 166, 266 (affirmant ne pas se souvenir d'une disparition du carnet sous
scellé)
Daniel
Stilnovic, substitut du procureur d'Auxerre, écrivant à Bourguignon pour l'accusation de Louis, est muté à Paris:
149-150, 151 (radié puis réintégré alors qu'il est peut-être le
seul à avoir fait son travail sur Louis en 1984), 165-166 [cité par erreur?]
Bertrand
Daillie, substitut du procureur d'Auxerre dans les années 1990:
151
Jacques
Cazals, procureur d'Auxerre dans les années 1990:
136, 151, 189-191 (refusant en février 1997
d'instruire une plainte des familles de victimes), 194 (concluant au suicide de
Jambert), 205 (n'allant pas sur les lieux où Jambert a
été retrouvé mort), 206
Premiers
policiers allant chez Dunand bloqués par un
magistrat: 117
Intervention
le 23 janvier 1984 du SRPJ de Versailles, étrangement
choisi par le procureur: 117, 123
Commissaire
Michel Vialatte, qui ouvre l'enquête sur
Claude Dunand, meurt d'une crise cardiaque à Paris:
123
Carnets de
Claude Dunand avec une cinquantaine de noms de clients, saisis par la police,
"inexploitables" selon des enquêteurs,
puis disparaissant du tribunal d'Auxerre pendant l'instruction: 118, 157-158,
264-265
Croix gammée nazie faite au tournevis brûlant sur
le sein d'Huguette; séquestrée de Dunand: 119, 174
Séquestrée de
Claude Dunand venant de la Ddass: 119
"Helmut
l'Allemand" aidant à séquestrer Huguette: 120
Prostituée, séquestrée par Dunand, libérée sur ordre d'un client qui la connait, refuse de porter plainte pour
les viols et tortures subis, absente le jour de son témoignage au procès pour
avoir été renversée la veille par une voiture, puis retrouvée morte emposionnée chez
elle, ses papiers, sa correspondance et ses photos ayant disparu: 121, 153, 160
Paul
Lefort, PD-G retraité client de
Dunand, qui affirme que Dunand lui a dit s'être débarrassé d'une
fille, meurt d'une crise cardiaque une dizaine de semaines après son inculpation fin janvier 1984: 121-122, 124, 152
Georges
Ethievant, PD-G retraité client de
Dunand, meurt d'une crise cardiaque quelques semaines avant le procès de Dunand: 122
Christian
Grima, directeur d'un supermarché
d'Auxerre, client de Dunand, condamné à six mois de prison ferme pour viols et tortures, "tue" son épouse et "se suicide" lorsque Dunand sort de prison en 2001:
122-123, 138
Joseph Q.,
ingénieur au Centre de formation de la Marine nationale, soupçonné d'être client de Dunand et disculpé
par des attestations de ses proches: 122
Monique
Dunand, épouse de Claude Dunand, condamnée
à cinq ans
de prison, en sort en 1996, et meurt en 1997 d'une chute d'escalier: 123, 141
Mort du médecin attitré de Dunand:
123
Huguette
soignée de ses blessures infectées par un
médecin: 123
Avocat général du
procès de Dunand jugeant ridicule de penser qu'on ait pu vouloir couvrir quoi
que ce soit: 118
Me
Jean-Yves Liénard, ténor du
barreau parisien, avocat de Dunand: 107, 108, 119-120, 160
Homme
politique nationalement connu, client de Dunand: 108, 110, 128-130, 139
(proposant de fournir à Dunand
des faux-papiers pour s'enfuir à l'étranger), 155, 158
Homme
ayant un poste à haute
responsabilité au ministère des
Finances à Bercy, client de Dunand: 129, 139, 155, 158
Deux
patrons nationaux de concessions automobiles, clients de Dunand: 129, 139, 155,
158, 160
Michel X,
de l'hôpital psychiatrique d'Auxerre, client de Dunand: 139, 155
Directeur
de pupilles de la nation: 139, 160
Clients de
Dunand interrogés par la police, affirmant ne pas le connaître: 139
Guy Roux:
111
Georges
F., écrivant pour solliciter la libération de
Dunand: 108, 109, 111-112, 124, 127, 129, 146, 156-157, 175, 177, 179,
223
Elsa
Vigoureux, journaliste au Nouvel
Observateur: 114
(gagnant un procès intenté contre elle par François F.),
124-125, 127-128, 130, 137
Corinne
Hermann, Philippe Jeanne, Les
Disparues de l'Yonne:
131-132, 153, 178, 231
Hubert
Besson, journaliste de L'Yonne Républicaine, auteur de Disparues
de l'Yonne, la contre-enquête: 136-141
(taisant l'enquête d'Elsa
Vigoureux), 155, 184
L'Yonne Républicaine: 141
(critiquée par la presse nationale, Le
Figaro, L'Humanité), 156 (publiant l'affaire Dunand une dizaine de jours après la presse nationale)
Journaliste
pris en flagrant de délit de
subordination d'un témoin sur écoute téléphonique dans une affaire de pédophilie
concernant Georges Maingonnat, ex-maire et conseiller général de
Chablis: 141
Dix-sept
jeunes femmes de la Ddass disparues dans l'Yonne: 131, 153, 161, 170
Selon le
rapport demandé par la
ministre de la Justice Marylise Lebranchu à L'IGSJ
(Inspection générale des services judiciaires), 1042 dossiers de non-lieu prononcés entre 1958 et 1982 au Tribunal de grande instance d'Auxerre ont
disparu sur 1048: 132-134, 153, 158, 233, 264
Rapport de
l'ITGN (Inspection technique de la gendarmerie nationale): 209 (le colonel Coïdan argumente pour le suicide de Jambert), 211 (affirmant un endettement
alors que les enfants reçoivent un
héritage confortable), 217
Émile Louis, chauffeur de car: 113-115 (disparitions dans le Var et les
Alpes de Haute-Provence), 119, 125-127, 131, 134 (son arrestation en décembre 1981 correspondant aux derniers dossiers de non lieu disparus au
tribunal), 136-137, 142-145, 150 (disant à
Jambert qu'il ne pouvait rien contre lui, qu'il avait des relations), 152, 161,
164-166 (mis en garde le 28 juin 1984 par un courrier manuscrit anonyme à propos du rapport de Jambert), 169-170, 234, 243
Claude Dunand et
Émile Louis, employés par la même firme
de transport, fréquentant
le même bar "Les Marronniers" à Saint-Georges-sur-Baulche, près
d'un foyer d'accueil de jeunes de la Ddass: 144; 177 [Raynaud semble ignorer que
Louis a dit avoir été marqué par ce
qu'il a vu de l'épuration],
180 (affirmant ses bonnes relatons avec Jean-Pierre Soisson)
Me Thierry
Lévy, ténor du
barreau parisien, avocat d'Émile Louis
en 1982-1984: 145
Marilyne
V., fille d'Émile Louis, témoin
enfant de l'éventrage d'une jeune autostoppeuse par son père, et agressée le 23 février 2001 par deux hommes pour avoir parlé aux gendarmes: 171-173, 176-177
Préfecture refusant illégalement
de laisser consulter les statuts et comptes rendus d'assemblées
générales de
l'association Fraternité
Notre-Dame de François F.: 115
Philippe
Guilhaume: 52
Jacques
Chirac: 53-55, [184]
Dominique
Perben, ministre de la Justice: 184, 188
Georges
Maingonnat, maire de Chablis (Yonne), condamné et
emprisonné pour pédophilie:
63, 141, 246
Réseau Voltaire, Thierry Meyssan: 72
Adolf
Hitler, Ernst Röhm: 73
Michaël Kühnen
(1955-1991): 73-75
Michel
Caignet: 74-76
Christian
Bouchet: 75
"J."
, journaliste agressé: 78-81,
84, 87
Me
"X", avocat du barreau de Paris, informateur de J. Grand: 80-81
M. de G.,
membre de l'Ordre du Temple solaire (OTS), mort mystérieusement:
86
Scanner médical à
Cosne-sur-Loire comme remerciement à l'extrême-droite pour l'élection du
président de la région
Bourgogne: 90-92
Jean-Pierre
Soisson, président
droite de la région
Bourgogne, nommé ministre par Mitterrand: 92, 108, 128, 129, 136, 169, 180
Ambassadeur
du Népal: 101
Jean-Louis
Debré: 109
Réseaux:
153, 160, 170, 184, 226, 228, 244
Jacques Pradel, Perdu de
vue: 163
Pierre Charrier, directeur de l'Apajh de l'Yonne depuis
1985,: 167-169 (condamné au
tribunal correctionnel pour viol sur une pensionnaire handicapée)
Nicole Charrier, épouse de
Pierre Charrier, six ans conseillère
municipale d'Auxerre sur la liste de Jean-Pierre Soisson: 169
Jacques Cheminade: 168-169
René Brossart,
proxénète expatrié au Brésil en
1998: 160, 169, 217
Deléglise,
truand connu de Jambert et bien informé, assassiné: 217-218
Juge Renaud Van Ruymbeke:
169
Michel Roussel, ex-patron de la cellule toulousaine Homicide
31: 183, 194-196, 206-207, [224, 238-241], 244
Juge d'instruction Benoît
Lewandowski: 189-191, 196, 204
Jean-Marie Rouart, de l'Académie
française, défendant
Omar Raddad: 235-241
Michel Fourniret, violeur et tueur en série, ayant enlevé Isabelle
Laville, en 1987, près de
Chablis: 245 |