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La victime

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Indélicatesses de Laurent Boudet et Agathe Merlet

 

[19/01/2013]

 

 

 

 

Exposé des faits

 

Le 26 décembre 2012, Agathe Merlet me contacte par mail, m’écrivant : « Je souhaiterai louer pour le week-end du 5 et 6 Janvier, deux objectifs à décentrement pour Canon 5D : 24 et 45 mm.
La location sera au nom de Laurent Boudet.
Merci de me préciser le prix et la disponibilité. »

Je lui réponds :

« Le 24 II est à 20€ la 1ère journée, le 45 à 15€.

Pour deux jours, je vous fais l'ensemble à 60 euros.

Est-ce que Laurent Boudet sera présent pour signer le contrat de location?
Sinon, il faudra des justificatifs supplémentaires.»

Elle m’écrit ensuite : « Nous n'aurons peut-être besoin des objectifs que pour une journée. J'attends confirmation.

Je ne suis pas encore sûre que Laurent Boudet pourra les récupérer lui-même. »

 

Le 1er janvier 2013, Agathe Merlet m’écrit : « Je vous confirme la location des objectifs à décentrement 24 et 45mm pour la journée du samedi 5 Janvier. 

Dites-moi quand nous pouvons venir les chercher (vendredi soir ou samedi matin), et les ramener (samedi soir ou dimanche). »

 

Agathe Merlet vient chercher les deux optiques le 4 janvier à 18h et signe le contrat pour un retour le lendemain 5 janvier, pour le prix d’une journée, soit 35 euros. Je lui demande de me prévenir pour le retour et surtout pour tout retard (car le matériel que je lui confie a une valeur de 3500 euros.

Le lendemain 5 janvier, à 22h, je n’ai toujours pas de nouvelles, après avoir stressé au point de chercher des informations sur internet sur Agathe Merlet et son mandataire Laurent Boudet.

A 22h04, je laisse un message sur son répondeur, et lorsqu’elle me rappelle, elle me dit que les optiques ne me seront rapportées que ce dimanche 6 janvier, par un homme d’environ 45 ans. J’avais déjà prévu de visiter une exposition au Musée d’Orsay, où je pouvais avoir besoin des optiques, et j’accepte de les récupérer là s’il est trop tard pour qu’on me les rapporte à domicile.

L’homme, dont je ne connais pas le nom, me téléphone après 10h (du 0629750998), alors que je suis déjà dans l’exposition, et n’arrive à me retrouver qu’après 11h04. Comme il y a une file d’attente importante à l’entrée de l’exposition, nous nous rencontrons de part et d’autre d’une barrière. L’homme, pressé de partir, semble étonné que je veuille examiner les optiques, et je les mets sur mon boîtier pour vérifier le fonctionnement du diaphragme et des mouvements de décentrement pour les deux et de bascule pour le 45mm, un peu difficilement car je tiens le chèque dans une main et qu’il n’y a rien pour poser quoi ce soit où nous sommes. Je retrouve la personne avec qui je faisais la visite et c’est alors que je veux mettre les deux optiques dans mon petit sac ceinture et que je dois pour cela ôter le pare-soleil du 45 mm, que je m’aperçois qu’un poussoir est de travers, puis que le pare-soleil est plus généralement cassé. Dès 11h13, j’appelle Agathe Merlet pour lui faire part de ma découverte. J’ajoute que « L’objectif a l’air bon. »

A 15h47, je lui envoie un mail avec la photo jointe de la partie la plus visiblement cassée du pare-soleil.

« Alors que les objectifs devaient être contractuellement rapportés chez moi le soir du 6 janvier, sans nouvelles, c'est moi qui vous appelle juste après 22h pour apprendre que vous me rendez les objectifs le lendemain matin, retard sans préavis que j'accepte sans que me soit proposé ni que je demande une compensation.
Vous me dites que c'est un homme d'environ 45 ans qui me l'apportera.
Comme je visite une exposition au musée d'Orsay, cet homme (dont le téléphone est 0629750998), m'apporte les objectifs à la barrière. Lorsqu'il s'apprête à partir avec les papiers que je ne peux tenir en même temps que les objectifs que je veux vérifier, je le retiens et vérifie vite sur mon boitier la fermeture des diaphragmes et les mécanismes de décentrement.

Lorsqu'il est vite parti et que je veux ranger mes objectifs dans mon sac ventral habituel, je veux retirer le pare-soleil du 45mm que je n'utilise pas pour des raisons d'encombrement, et m'aperçois qu'un des deux poussoirs pour le déclipser est de travers, puis après avoir réussi à ôter le pare-soleil, je m'aperçois qu'un des quatre clips est sorti, et que le pare-soleil est fendu à deux endroits (voir photo, à droite de "JAPAN" et tout à droite de la photo, prise à 14h45), ce dont peut témoigner la personne qui m'accompagnait, Élisabeth Julliot.. C'est en examinant mieux en vous écrivant ce courrier, à 15h30, que je m'aperçois que deux autres clips sont manquants. De toute évidence, l'objectif a subi un choc qui a cassé et sans doute éjecté le pare-soleil, et cela m'a été dissimulé. Et je ne connais pas encore les conséquences sur mon objectif dont je ne vois pas encore de séquelle à part peut-être un jeu longitidunal de la bague de mise au point.

Pour l'instant, tant que je ne vois pas encore d'autres séquelles, je ne demande que le remplacement ou le remboursement de ce pare-soleil, et le paiement d'une demi-journée supplémentaire à vingt euros. »

 

Le lundi 7 janvier, Agathe Merlet me téléphone et me raconte que l’équipe technique a effectivement fait tomber l’objectif sur le pare-soleil.

 « Y a un problème sur la rampe dû à nous? Parce que moi on m'a dit y a vraiment que le pare-soleil »

Lorsque je lui dis : « Déjà ça m'a été dissimulé comme vous pouvez le constater. », elle me répond :

« Moi aussi, je suis vraiment désolée [...] Ils auraient pu me le dire avant de le rendre. », puis, :

« sinon je l’aurais dit à la personne qui est venue vous le rendre qui était pas du tout au courant vu que lui était pas du tout sur le tournage. »

« Ils m’ont dit effectivement que le pare-soleil avait pris un choc, qu’ils l’avaient enlevé »

 

Le mardi 8 janvier, après m’avoir appelé sans que je puisse répondre et sans laisser de message, Agathe Merlet me téléphone (les deux fois du 09 67 18 54 23) pour la dernière fois. Là elle me dit « Je trouve ça normal de payer du matériel cassé. »

je parle de la casse sans qu'elle réagisse.

 « Je trouve ça normal de vous rembourser ce qui est cassé »

A la fin je parle de la casse cachée, ce qu'elle ne nie pas.

Par contre, lorsque je parle de la facturation supplémentaire de la journée de retard, elle est en désaccord avec moi.

 

Le 15 janvier, j’écris à Agathe Merlet : « Cela fait une semaine exactement aujourd'hui que j'ai eu mon dernier contact concernant le matériel cassé lors de la location.

Vous m'avez dit que c'est Laurent Boudet qui s'en occuperait dorénavant mais je n'ai ni nouvelles ni mail ou téléphone pour le contacter.

Voulez-vous bien me donner nouvelles et le moyen de le contacter? »

Je n’ai de réponse qu’une semaine après, le 22 janvier. Ne niant pas la casse, elle ne me parle que de ses vacances pour expliquer ce délai et me donne les mail et téléphone mobile de Laurent Boudet.

Le lundi 4 février 2013 à 17h, une semaine après sans réponse de mon mail à Agathe Merlet, je lui téléphone en présence de témoins (et avec un téléphone qui n’est pas le mien pour qu’elle réponde plus sûrement). Elle refuse de me répondre sur le point où je la questionnais, à savoir si elle avait transmis les informations sur la casse du pare-soleil à Laurent Boudet. Elle répète plusieurs fois que c’est lui qui s’en occupe, et décline toute responsabilité avant de me raccrocher au nez après une discussion d’à peine 1 mn 30.

Jusqu’à ce jour, jamais n’a démenti la casse du pare-soleil, contrairement à Laurent Boudet.

A 17h08, Laurent Boudet m’envoie un mail lapidaire, en « réponse » à mon mail du 23 janvier :

« Je n'ai aucune information sur la casse de l'objectif et le contrat mentionnait une durée de 2 jours.
J'ai demandé á mon service juridique qui me confirme que le dossier peut être clos.
Je voulais vous aider à titre commercial, car il me semble qu'à l'oral nous avions parlé d'une seule journée mais si cela ne vous satisfait pas, je n'y peux rien. »

 

Le 19 février, Laurent Conchon, responsable et spécialiste technique au magasin photographique Objectif Bastille, 11 rue Jules César, Paris 12e, me confirme qu’il y a eu un déplacement optique à l’intérieur de l’optique.

 

 

 

Je demande à Agathe Merlet de faire un témoignage écrit. Elle m'accuse de harcèlement (Six mails et trois appels en trois ans, dont un où elle me raccroche au nez). Elle refuse de venir à la conciliation en 2013.

 

J'assigne donc les deux. Les conclusions de son avocate sont une confirmation de la chute, ce que je lui demandait. Elle a payé son avocate 1000€ qu'elle demande en vain au tribunal que je lui rembourse.

En janvier 2016, Laurent Boudet est absent au tribunal. Il fait ensuite une opposition prétextant vainement qu'il n'a pas été averti (alors que l'huissier l'a bien fait).

Il se présente la seconde fois au tribunal mais le même jugement est confirmé à son encontre en août 2016 : 500€ pour moi, et 700€ pour mon avocat Me Turton.


 

 

Le clip qui fut l'occasion de la détérioration de mon optique, non assumée par Laurent Boudet : https://www.youtube.com/watch?v=FG7LzZo1NRw

Laurent Boudet sur Youtube : https://www.youtube.com/channel/UCbrRDGsvdGLpKnYYWz2S0hw

Abigail Luce et Humanoide : https://www.facebook.com/groups/AbigailLuceHumanoide/?fref=ts

http://www.facebook.com/abigaillucehumanoide/info

http://www.facebook.com/humanoide.biz

https://soundcloud.com/humanoide

http://www.humanoide.name/

http://www.abigaillucehumanoide.com/

http://www.abigailluce.book.fr/galeries/egerie-monde-addict/784623 http://www.abigailluce.book.fr/galeries/egerie-monde-addict/547459

laurent.boudet@gmail.com

 

http://www.facebook.com/agathe.merlet

http://www.commeaucinema.com/personne/agathe-merlet,84079